600 millions de personnes à travers l’Afrique n’ont pas accès à une énergie abordable, fiable et durable; Les mini-réseaux sont une nouvelle approche perturbatrice qui pourrait accélérer l’accès à l’énergie; L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit que les mini-réseaux seront la méthode la moins coûteuse pour connecter au moins 264 millions de personnes d’ici 2030; Mais pour libérer leur potentiel, nous avons besoin de nouvelles façons de financer les mini-réseaux. CrossBoundary Energy Access opte pour son approche de financement de projets pour les mini-réseaux afin d’accélérer l’accès universel à l’énergie en Afrique.
CrossBoundary Energy Access (CBEA), la première facilité de financement de projets en Afrique pour les mini-réseaux, propose une approche open source pour investir des capitaux d’infrastructure dans des mini-réseaux à travers l’Afrique.
L’Objectif de développement durable 7 des Nations Unies engage la communauté mondiale à atteindre l’accès universel à l’énergie d’ici 2030. Le temps presse pour atteindre cet objectif. 600 millions de personnes en Afrique n’ont toujours pas accès à l’électricité.
Les mini-réseaux sont un moyen nouveau et perturbateur d’accéder à l’énergie. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit que les mini-réseaux seront la méthode la moins coûteuse pour connecter au moins 264 millions de personnes d’ici 2030. Les mini-réseaux sont prêts à évoluer en Afrique mais n’attirent pas encore les financements dont ils ont besoin.
Les mini-réseaux sont une infrastructure. À l’instar des infrastructures traditionnelles, ils forment les systèmes physiques de base d’une nation – transport, communication, eau et électricité. Ils ont donc besoin de capitaux à long terme et à faible coût, tout comme les autres actifs d’infrastructure. Cependant, les approches traditionnelles du financement des infrastructures sont difficiles à appliquer aux mini-réseaux. Contrairement aux infrastructures traditionnelles, les mini-réseaux sont petits, distribués et desservent directement les clients, plutôt que les acheteurs gouvernementaux. Pour financer ces actifs nouveaux et disruptifs, le secteur des mini-réseaux a besoin de nouveaux modèles de financement qui permettent aux capitaux d’infrastructure de circuler dans les actifs sous-jacents.