Economie

L’Afrique entre aspiration à un rôle international, crise économique et solutions de partenariat

À la fin de l’année 2023, dans le contexte du siège de l’Afrique par le reste du monde, les discussions ont repris sur la position du continent dans l’économie mondiale et sur un groupe de partenariats internationaux et régionaux actifs d’ici la fin de l’année dans divers domaines économiques et secteurs en Afrique, le premier article publié par le Financial Times promeut l’idée selon laquelle l’Afrique représente un fardeau économique sur la croissance globale de l’économie mondiale, selon une lecture numérique largement abstraite, et aboutissant aux conclusions traditionnelles longtemps promues par les approches néolibérales.

Quant au deuxième article, il aborde un phénomène important qui mérite réflexion. En effet, les puissances internationales (l’Allemagne et l’Inde dans ce cas) coordonnent leurs efforts pour intervenir conjointement sur le continent africain d’une manière qui profite à ces parties et réduit les retombées qui atteignent les pays africains individuellement. Sous prétexte de transférer et de localiser la technologie à travers un pays du Sud comme l’Inde, le troisième article exprime avec force la vision pragmatique occidentale du continent africain en critiquant la position africaine sur la question palestinienne et en la comparant aux positions des pays du continent concernant la crise russo-ukrainienne.

Le quatrième article présente un groupe des investissements miniers les plus importants sur le continent en 2023 après JC, dont la plupart reposent clairement sur des partenariats internationaux et régionaux sur le continent.

L’Afrique, qui abrite aujourd’hui 1,5 milliard d’habitants, représente le plus gros problème pour la croissance mondiale ; Une personne sur trois entrant sur le marché du travail dans le monde vivra sur le continent africain d’ici la prochaine décennie, pour une croissance plus rapide de l’économie mondiale dans son ensemble ; L’Afrique doit trouver un moyen d’employer ces travailleurs de manière productive et de bénéficier du dividende démographique. Mais cela n’est pas le cas dans la plupart des pays africains. Certaines statistiques montrent que le taux de croissance souhaité de la population en âge de travailler devrait être d’au moins 2 % comme condition nécessaire à une croissance économique « miracle », ce qui implique une trajectoire durable d’au moins 6 %.

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