Economie

Le Groupe de la BAD et les centres de recherche œuvrent pour transformer l’agriculture africaine et améliorer la sécurité alimentaire

Le Groupe de la Banque africaine de développement et le Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (le Groupe) se sont engagés jeudi à renforcer leur coopération pour accroître la production alimentaire et fournir une meilleure nutrition à la population africaine croissante, avec 65 % des terres arables mondiales incultes, la Banque africaine de développement estime que le continent est capable de se nourrir lui-même et de nourrir le reste du monde.

A cet égard, le président de la Banque africaine de développement, Dr. Akinwumi Adesina, a reçu jeudi au siège de la Banque à Abidjan, les directeurs généraux du Groupe consultatif résidant en Afrique, dans le but de formuler des moyens d’augmenter l’alimentation et productivité agricole sur le continent, les centres du GCRAI sont situés dans les pays africains et se concentrent sur l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, la réduction de la pauvreté et l’amélioration des ressources naturelles et des services écosystémiques. Ils jouent un rôle essentiel dans la réalisation de la sécurité alimentaire sur le continent, tout comme leurs homologues d’Asie du Sud-Est et d’Amérique latine ont également joué un rôle déterminant dans l’accélération de la croissance agricole et de l’autosuffisance alimentaire, la réunion de jeudi était la première visite de groupe coordonnée des quatre directeurs généraux/directeurs régionaux et du directeur général adjoint pour l’Afrique chez un partenaire financier. Cela s’est produit deux jours après que le Dr Adesina a accueilli le secrétaire d’État américain Anthony Blinken, alors que le chef de la diplomatie américaine a félicité la banque pour ses efforts exceptionnels visant à aider l’Afrique à se nourrir et à nourrir le reste du monde.

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Les dirigeants se sont concentrés sur l’obtention d’un financement à long terme pour les activités de recherche et le Groupe consultatif afin d’améliorer son efficacité à travers le continent. Ils ont également discuté du renforcement des capacités des partenaires des services nationaux de recherche agricole au niveau national, des jeunes scientifiques, du personnel de vulgarisation et des producteurs de semences du secteur privé pour produire des semences certifiées.

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