La Banque mondiale a annoncé qu’elle prêterait 700 millions de dollars à l’Égypte à des fins de politique de développement afin de soutenir le gouvernement afin d’accroître la participation du secteur privé à l’activité économique, d’améliorer la résilience de l’économie globale et des finances publiques et de parvenir à une croissance plus respectueuse de l’environnement, selon à une déclaration lundi, la ministre égyptienne de la Coopération internationale, Rania Al-Mashat, a déclaré dans un communiqué que le prêt comprend 500 millions de dollars de la Banque mondiale et 200 millions de dollars d’autres partenaires, et que la période de remboursement est de 35 ans, dont une période de grâce de cinq ans et 30 ans pour remboursement.
Ce prêt s’inscrit dans le cadre d’un programme annoncé en mars 2024 et est d’un montant de 6 milliards de dollars (3 milliards de dollars pour le gouvernement, et autant pour permettre au secteur privé), selon le ministère égyptien de la Coopération internationale, ce financement est le premier d’une série de programmes qui comprennent 3 opérations visant à « faire avancer des réformes majeures », selon le communiqué, notamment le renforcement du cadre de gouvernance des entreprises publiques en établissant une base juridique pour la politique de propriété de l’État, en renforçant la concurrence. dispositif de protection pour empêcher les pratiques monopolistiques dans les fusions et acquisitions et améliorer la mobilisation des revenus au niveau national en assurant une évaluation précise des impôts sur les salaires, en réduisant les pertes du réseau électrique, en améliorant la résilience climatique et la durabilité financière des secteurs de l’eau et de l’assainissement, en élargissant l’utilisation des sources d’énergie renouvelables. et établir un cadre réglementaire volontaire pour le marché des crédits carbone.
Le nouveau financement de la politique de développement est conforme au cadre de partenariat stratégique de la Banque mondiale pour l’Égypte pour les exercices 2023-2027, qui donne la priorité au développement du secteur privé, pour sa part, la ministre égyptienne de la Coopération internationale, Rania Al-Mashat, a annoncé que les efforts déployés avec les partenaires de développement multilatéraux et bilatéraux au cours des derniers mois ont abouti à la mobilisation d’un financement à taux réduit d’une valeur d’environ deux milliards de dollars, dont 700 millions de dollars approuvés par le Conseil d’administration.