Le Cabinet égyptien a déclaré dimanche que le Fonds souverain égyptien avait signé quatre accords dans le domaine de l’ammoniac vert avec un certain nombre de développeurs européens pour un coût d’investissement s’élevant à environ 33 milliards de dollars, en marge de la conférence conjointe égypto-européenne sur les investissements tenue à Caire, selon un communiqué du Conseil des ministres sur son compte Facebook, ce qui suit a été signé :
Le premier accord est avec Dai Infrastructure (DAI), d’une valeur de 11 milliards de dollars, et vise à établir un projet d’ammoniac vert dans le port est de Port-Saïd, le deuxième accord est avec Ocior Energy, avec un coût d’investissement total d’environ 4 milliards 250 millions de dollars, et comprend la mise en place d’un projet d’ammoniac vert dans le port de Sokhna pour cibler les marchés européens, le troisième accord est conclu avec l’alliance d’une société énergétique arabe et de « VOLTALIA », d’une valeur de 3 milliards 460 millions de dollars, et vise à établir un projet d’ammoniac vert dans le port de Sokhna, quant au quatrième accord, il a été signé avec les sociétés « British Petroleum », « Masdar » (MASDAR), « Hassan Allam » pour les services publics et « Infinity Power » Holding, pour un coût d’investissement total de 14 milliards de dollars, et vise à établir un projet d’ammoniac vert dans le port de Sokhna.
Le chef de l’Autorité générale de la zone économique du canal de Suez, Walid Gamal El-Din, a déclaré que la signature des accords d’aujourd’hui reflète l’intérêt croissant des entreprises internationales à investir en Égypte, ce qui confirme la confiance dans l’économie égyptienne, il a ajouté qu’un grand nombre de projets sont en cours de mise en œuvre dans la zone économique du canal de Suez, afin de maximiser les avantages et les incitations à l’investissement dans cette région, le Premier ministre Mostafa Madbouly a souligné plus tôt qu’il existe une opportunité importante pour l’Égypte de devenir une source d’énergie propre en raison de ses grandes ressources solaires et éoliennes et de la disponibilité d’un grand potentiel pour produire de l’hydrogène vert, puis l’exporter vers le continent européen. comme alternative aux sources d’énergie traditionnelles.
