Economie

Une stratégie pour promouvoir le développement durable dans le cadre de la réforme des barrages au Kenya

Malgré les problèmes rencontrés par les barrages kényans, qui ont eu des effets dévastateurs sur le Kenya; Cependant, nombre d’entre eux se distinguaient par la précision technique, la sécurité et la durabilité de la construction, qui reflétaient positivement la situation économique du pays et les moyens d’existence de la population, et poussèrent le Kenya à mettre en place de nombreux projets, dans le cadre de réformes majeures des infrastructures et du secteur agricole et de l’élevage, notamment avec la diminution des sécheresses, et la réduction des La destruction des forêts, l’approvisionnement en électricité, etc., qui ont contribué à la promotion du développement durable dans plusieurs régions du Kenya, en particulier dans le domaine agricole.

La stagnation du secteur agricole depuis de nombreuses années a eu des effets négatifs sur la sécurité alimentaire. Le secteur agricole se développait à un taux de moins de 2% par an, contre environ 4% ou plus dans les années 80; L’insécurité alimentaire a atteint 41% en 1995-1997.

Par conséquent, plusieurs cadres ont émergé pour protéger la sécurité alimentaire au Kenya. En adoptant un nouveau système représenté par l’augmentation de la production agricole et l’augmentation de la superficie forestière dans le cadre des initiatives de réforme économique dans le pays, en réduisant les dommages causés par la structure délabrée des barrages, en rationalisant l’eau qu’ils contiennent et en les utilisant en place, notamment en augmentant la superficie des terres agricoles, et en évitant Périodes de sécheresse utilisant de l’eau stockée, dans le cadre des réformes techniques de ces barrages.

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Le Kenya a également cherché à agrandir et à réhabiliter la zone forestière après que des parties de celle-ci aient été détruites par les inondations. Là où le Comité national et le Kenya Forest Service ont planté plus de 3 mille plants dans la forêt de Gatare, en plus d’augmenter la superficie des pâturages dont dépend le bétail, ce qui a contribué à augmenter le nombre de bétail et à le protéger de la sécheresse tout en fournissant une source d’eau permanente.

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