Comme le montre l’évolution du virus, le Sénégal n’a pas connu de pertes humaines catastrophiques par rapport à certains pays: comme la Chine, la source du virus – l’Italie, la France et d’autres, bien qu’il soit plus préparé à affronter la crise que nos pays au vu des capacités financières et médicales qu’il possède; Du personnel médical et de l’équipement. Par exemple, il a fallu seulement deux semaines avant que le virus ne pénètre en Italie, puis le taux d’infection a commencé à prendre une tournure dangereuse; La tâche du personnel médical est ainsi devenue presque impossible. En raison des pertes et des morts en nombre effarant. En revanche, on constate que le Sénégal, trois mois après l’entrée du virus sur son sol, n’a fait que plus de quarante mille morts, mais avec les quelques pertes humaines, l’économie sénégalaise a été affectée par de violentes grèves qui ont frappé la macro-économie, les secteurs et les particuliers.
Quant aux répercussions macroéconomiques du COVID-19, elles sont en plusieurs étapes, notamment: En ce qui concerne la croissance économique, le Sénégal a connu un boom remarquable depuis 2014; Comme le taux de croissance économique moyen pour la période comprise entre (2014-2018) était de 6,2%, contre 3,3% pour la période comprise entre (2009-2013), il s’est ensuite stabilisé en 2019 après JC à 5,2%, contre 6,4% sur l’année 2018, puis vint la bonne nouvelle que, le premier jour de la nouvelle année (2020 après JC), la situation s’améliorerait pour le mieux. Où le taux atteindra 6,3% et 6,8% en 2021 après JC, mais la tempête Covid-19 est arrivée, coupant l’espoir de faire sauter tous les calculs rassurants; Parce que les statistiques ont indiqué que le taux de croissance tombera à moins de 3% après que l’économie faiblira et sera affectée par la quarantaine imposée à la population.
