Le parc industriel Nairobi Gate SEZ a annoncé le lancement de sa cinquième phase, marquant un investissement important de 7 millions de dollars visant à renforcer les industries manufacturières légères du Kenya, notamment les secteurs agroalimentaire, textile et de l’habillement, tout en élargissant la zone de contrôle douanier (CCA) du parc, cette nouvelle phase comprendra 130 000 pieds carrés d’unités d’entrepôt modulaires conçues pour accueillir des entreprises locales et internationales, améliorant la capacité du parc à répondre aux demandes croissantes des industries, notamment pharmaceutiques, de logistique tierce partie, d’exportateurs, d’importateurs, de distribution et d’entreprises de textile et d’habillement.
Ces entreprises sont prêtes à bénéficier des avantages financiers et opérationnels offerts par le cadre de la zone économique spéciale (SEZ), qui rationalise les processus douaniers et offre des incitations fiscales importantes, la phase Mara s’appuie sur le succès de la phase 4, lancée l’année dernière en novembre 2023 par l’honorable Abubakar Hassan. Depuis son lancement, la Phase 4 a atteint un taux d’occupation de 90 %. Sur les 17 entreprises opérant au sein de Nairobi Gate, 8 sont des entreprises de la ZES bénéficiant à la fois des incitations fiscales et non fiscales offertes dans le cadre du programme ZES, « Improvon a toujours cru au potentiel du marché kenyan », a déclaré Dean Shillaw, directeur général du parc industriel de Nairobi Gate.
« Nous sommes ravis de poursuivre notre parcoure avec cet investissement, qui positionne davantage Nairobi Gate comme un pôle industriel clé non seulement pour le Kenya, mais pour toute la région », s’étendant sur 103 acres le long de la rocade est de Nairobi, Nairobi Gate a développé environ 23 % de son site à ce jour. Le parc offre actuellement plus de 550 000 pieds carrés d’installations d’entreposage et de logistique de qualité internationale, desservant des secteurs tels que les produits pharmaceutiques, les produits chimiques, les produits de grande consommation, le stockage de la chaîne du froid, les entreprises de la ZES, les exportateurs et les organisations humanitaires comme la Croix-Rouge. Ce développement a déjà généré 434 emplois permanents, contribuant de manière significative à l’emploi local.
