Depuis cinq ans, l’Algérie connaît une grave crise économique due aux fluctuations des prix du pétrole et du gaz, et leurs prix ont augmenté à certaines périodes de plus de 55%, ce qui a incité le gouvernement à s’aventurer dans un ensemble de politiques financières pour diminuer le déficit budgétaire général, qui a fait craindre dans de nombreux milieux économiques qu’il entraîne une augmentation du taux d’inflation à un rythme rapide, affectant ainsi le niveau de vie des Algériens dans la période à venir et l’émergence d’une nouvelle guerre civile.
La série de crises ne s’est pas arrêtée là, au contraire, la mainmise économique s’est intensifiée en Algérie avec le retrait du gouvernement des plans d’ouverture économique qu’il avait annoncés au cours des deux dernières années et l’adoption d’un ensemble de solutions qui pourraient imposer de nombreuses répercussions économiques imminentes, parmi eux, il y a la hausse des prix du carburant et d’autres augmentations d’impôts, avec un recours renouvelé à l’impression de monnaie de la Banque centrale, qu’elle a commencé à imprimer il y a cinq ans, ce qui augmenterait la hausse des niveaux d’inflation, un rapport publié par le « Future Center for Advanced » examinent ces transformations dangereuses au microscope, suggérant que ces politiques conduiront probablement à une détérioration de la confiance dans l’environnement d’investissement et dans l’économie en général.
Il a prévenu que l’Algérie s’effondrerait dans les mois à venir, et trois indicateurs principaux sont là, la première d’entre elles est la tendance du pays, dirigé par Tebboune, à s’appuyer sur le financement par l’intermédiaire de la Banque centrale pour combler ses déficits budgétaires générales, abandonnant d’autres moyens de financement, tels que l’emprunt extérieur, tandis que le deuxième indicateur concerne la stagnation continue de la législation économique d’une manière qui n’attire pas les investissements étrangers dans le pays, le troisième de ces indicateurs est incarné dans le secteur militaire et la volonté du régime d’entrer dans une guerre contre le Maroc, ce qui accélérera le retour du pays au Moyen Âge en raison de l’effondrement économique et des coûts élevés de la guerre.