La ville de Kigali, la capitale du Rwanda, a eu l’honneur d’annoncer les protocoles du Traité de création de la (Communauté économique africaine), relatifs à la libre circulation des personnes et au droit de résider, d’établir des institutions financières et de créer des entreprises, lors d’un sommet extraordinaire des dirigeants africains sur la (Zone de libre-échange continentale africaine), du 17 Jusqu’au 21 mars 2018.
44 des 55 États membres de l’Union africaine ont signé le texte consolidé du traité de la zone de libre-échange continentale africaine, 47 pays ont signé les dispositions déclarées à Kigali et seulement 30 pays ont signé le protocole sur la liberté de mouvement et de circulation.
Au 22 juillet 2019; L’Érythrée n’a pas ratifié le document du traité sur la zone de libre-échange continentale africaine; Cependant, il a signé le texte unifié du traité de convention, et il a également signé les documents qui ont été légalement effacés le 16 mai 2018; En préparation des négociations sur la zone de libre-échange continentale africaine.
Elle est représentée dans la création d’un marché continental unique des biens et services, tout en accordant aux hommes d’affaires et aux divers investissements une grande liberté de mouvement, puis en ouvrant la voie à l’accélération de la mise en place d’une union douanière unifiée. Il élargira également le commerce intra-africain grâce à une meilleure coordination et réglementation de la libéralisation et de la facilitation du commerce entre les CER; En effet, dans toutes les régions d’Afrique en général. L’Accord de libre-échange continental africain devrait également renforcer la compétitivité aux niveaux industriels et des entreprises; En exploitant les opportunités de production à grande échelle, en atteignant les marchés continentaux et en réaffectant mieux les ressources.
Pour cette importance et d’autres; Cette étude vise à: faire la lumière sur la zone de libre-échange continentale africaine, qui a été récemment lancée par l’Union africaine afin de faire progresser la roue du développement global en Afrique; En préparation de l’intégration économique et de la pleine intégration entre les pays africains, afin de mieux les connaître.