En Algérie, malgré toutes les fausses déclarations et la promotion de réalisations économiques et agricoles fictives sur tous les canaux numériques, écrits et visuels, des économistes et des militants des droits de l’homme se sont mobilisés pour déplorer la situation catastrophique dans laquelle se trouve le pays et alerter sur les conséquences de la propagation continue de la corruption, qui a atteint des « niveaux records », sur l’économie de la République algérienne, soulignant que l’un des crimes les plus odieux commis contre le peuple misérable est « sa perte de souveraineté alimentaire », dans ce contexte, les experts économiques ont souligné que la corruption dans le pays a atteint des « niveaux records » et qu’elle a des effets très graves sur l’économie et sur les moyens de subsistance des citoyens.
Les économistes ont indiqué que « le niveau élevé de corruption en Algérie s’est déjà reflété dans de nombreux indicateurs de l’économie nationale, notamment les faibles taux de croissance que l’économie nationale a connus ces dernières années », notant qu’un groupe d’études a montré que « le niveau élevé de corruption fait perdre à l’économie environ deux à trois points de taux de croissance économique » et que cette « situation empêche de nombreux investisseurs étrangers de choisir la République comme destination potentielle d’investissement », ils ont également averti que « les pratiques de corruption généralisées dans l’administration locale affectent la performance globale des entreprises en Algérie », soulignant que les niveaux des flux d’investissements étrangers « restent insuffisants pour réaliser la renaissance économique souhaitée et créer des opportunités d’emploi ».
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