Le continent africain prend une grande importance dans la politique étrangère turque, qui cherche à étendre son influence et à restaurer son ancienne gloire … Le continent brun est encore jusqu’à présent un continent vierge malgré les longues années de colonialisme, en termes de ressources naturelles, de minéraux, de sources d’eau et de terres arables, ainsi qu’en termes d’influence. Dominance et expansion; Comme le continent de la région subsaharienne est toujours composé de plusieurs pays pauvres et marginalisés, qui ont été exploités par les puissances impériales dans le passé, écrasés par le capitalisme tyrannique, les dettes et les accords internationaux à l’heure actuelle, et cela pourrait représenter une grande impulsion pour la politique étrangère turque d’exercer son soft power, en profitant des votes de ces pays. Après l’émergence de nombreuses réserves de pétrole, d’uranium, d’or et de bauxite dans plusieurs pays africains.
La Turquie a historiquement une présence proéminente dans les pays les plus importants du continent africain en termes de stratégie, car le califat ottoman dominait les pays du Nord en plus des pays de la Corne de l’Afrique. L’Égypte, la Libye, la Tunisie, l’Algérie, l’Érythrée, la Somalie et le Soudan y étaient affiliés dans la période comprise entre 1536 et 1912. Dans le cadre de la domination du califat ottoman sur les côtes du Bahreïn blanc et rouge, au plus profond du pays du Soudan, où certaines des sources du Nil, et aussi loin au sud que la Somalie, dans cette région stratégiquement importante de la Corne de l’Afrique, qui contrôlait les routes commerciales dans le passé.
La politique étrangère turque à l’égard de l’Afrique ne dépend pas seulement d’objectifs économiques et commerciaux, mais comprend également une approche intégrée par le biais d’une assistance technique dans des domaines tels que la lutte contre les maladies, le développement agricole, l’irrigation, l’énergie, l’éducation et l’aide humanitaire. La Turquie s’est félicitée des décisions de la Conférence de l’unité africaine en annonçant la Turquie comme partenaire stratégique et le sommet sur la «coopération afro-turque» qui a été le point de départ d’une coopération continue entre les deux parties.