Politique

Le ministère algérien de la Santé répond aux critiques de la communauté

Le professeur Mohamed Belhocine, chef de la cellule de suivi des enquêtes épidémiologiques au ministère de la Santé, a déclaré aujourd’hui que les procédures imposées pour entrer en Algérie après l’ouverture partielle des frontières ne sont pas des plus sévères par rapport à d’autres pays …

Dans sa réponse à la critique des mesures accompagnant l’ouverture de l’espace aérien, Belhocine a expliqué que la situation est encore anormale et exceptionnelle, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles, et à cet égard, Belhocine a commenté les procédures, disant que j’avoue qu’elles sont restreintes, mais elles doivent être suivies si l’on veut permettre aux personnes de se déplacer en cas de nécessité tout en préservant l’intérêt public.

En outre, Belhocine a révélé que sur 221 pays dans le monde, seuls 6 pays ont complètement ouvert leurs frontières, alors qu’il y en a 110 zones fermées et 106 partiellement ouvertes avec restrictions, le chef de la cellule de suivi des enquêtes épidémiologiques a indiqué que l’Algérie n’était pas le seul pays à avoir imposé des restrictions strictes à l’entrée sur ses terres, soulignant que le but de ces mesures était d’empêcher l’entrée et la propagation des souches mutées du Coronavirus.

Les communautés algériennes de l’étranger ont reçu la décision de l’ouverture progressive des frontières émise par le Premier ministre avec beaucoup de choc, d’agacement et de déception, alors que les détails, selon le communiqué de la communauté ne suscitent en aucune manière les aspirations car les fondements scientifiques sur lesquelles elles ont été fondées restent vagues et inconnues, selon un communiqué des organisations communautaires algériennes.

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