En Algérie, le régime qui règne combine ses caractéristiques, ses positions et ses politiques avec des descriptions caractérisées par une laideur apparente et une immoralité évidente, et si vous comparez la période de règne du général Chengriha avec d’autres périodes de règne des généraux qui l’ont précédé au pouvoir en Algérie, vous constaterez que ce régime n’a pas de plafond dans sa tyrannie, son arrogance, sa brutalité et sa laideur…
Ce régime jouit d’une stupidité manifeste, d’une arrogance sans précédent et d’une corruption sans bornes. C’est un régime fasciste dans son discours et sa structure, corrompu dans ses politiques et ses mouvements, défaillant dans sa gestion et ses capacités, et immoral et injuste dans ses pratiques de gouvernance.
Il asservit les Algériens avec toute sa force, et quand les morceaux du puzzle se rassemblent dans ses propos, ses prises de position et ses actes, vous êtes devant des témoignages vivants de sa banqueroute et sa falsification, ne donnant aucun poids à la sainteté d’une âme, à la volonté d’un peuple, ou à la sainteté du sol du pays.
C’est un système qui rassemble tous les défauts et tous les mensonges et calomnies. En fait, ce régime fasciste fait tout ce qui possible pour museler les bouches et prendre les vies en prononçant un discours de dédain.
Effectivement, tout le monde est en état d’accusation et tout le monde doit rivaliser pour sa satisfaction et ses désirs, et renverser la légitimité du peuple c’est la base de sa corruption.
En effet, le général Chengriha a trahi son ami et son chef, le général Gaid Salah, et l’a tué de sang-froid. Ce crime était causé par le chevauchement d’intérêts égoïstes et méprisables, et en raison de l’alliance du général Chengriha avec l’axe du mal, le général Nezzar et le général Toufik, ils ont formé un vaste réseau de corruption lié à des institutions publiques.