Lors d’un séminaire politique sous le thème « Pire que Bouteflika » dans l’une des salles du Club House, de nombreux chercheurs et politiciens d’Algérie et d’autres pays ont convenu que le général Chengriha pratique un nouveau type de dictature en Algérie.
Les chercheurs ont déclaré que la Russie, fatiguée du Moyen-Orient et satisfaite de la stabilité de ses alliés arabes, a cessé de suivre les événements récents passe en Algérie. Mais ce qui se passe dans le plus grand pays arabe en termes de superficie et un important partenaire de sécurité pour la Russie, est très dangereux. Là, le général Chengriha transforme l’Algérie en une dictature pire que celle exercée par son prédécesseur Bouteflika d’une manière qui place la région, qui souffre de guerres et de conflits, face à un état de chaos.
Le général Chengriha a passé la majeure partie des deux dernières années à ignorer toutes les constitutions locales et internationales. La répression est pratiquée contre le peuple algérien et sur quiconque s’oppose à son règne.
Et maintenant, dans une tentative de prise de pouvoir, qui rappelle l’époque du tyran Boumediène, le général Chengriha conduit l’Algérie dans un territoire dangereux par ses pratiques. Ce qui conduira officiellement à la légalisation de la dictature personnelle.
Les chercheurs affirment que c’est bien sûr une mauvaise nouvelle. C’est aussi dangereux pour la région, bien que les dictatures militaires qui concentrent le pouvoir entre les mains d’un dirigeant tyrannique, comme l’Égypte, aient pu sembler persister, surtout si elles étaient soutenues par l’armée, comme Chengriha. Cependant, ils sont plus sujets à un effondrement chaotique que d’autres types de régimes. Les changements que Chengriha veut opérer au niveau de l’armée conduiront au renforcement de son pouvoir et à la prévention de toute revendication de l’état civil, et ainsi rester au pouvoir à vie.