En Algérie, les généraux et leur maître Chengriha s’inquiètent de leur sort personnel, car ils ne se soucient de rien si le pays s’effondre puisque, les transactions financières corrompues dont ils ont été témoins pendant leur période à la tête de l’Algérie confirment qu’ils ne pensent qu’à remplir leurs comptes dans les banques suisses. Quant au peuple algérien, ils l’ont abandonné à son sort et il ont substitué la loyauté aux puissances coloniales (Russie) au lieu de la loyauté envers la patrie pour que la protection russe leur permette de rester au pouvoir et de s’échapper avec leur argent volé, et c’est de l’argent qu’ils savent qu’ils n’auront pas s’ils perdent le pouvoir…
D’après nos sources privées du Département des renseignements et de sécurité, on apprend que le chef du gang, le général Chengriha, est nerveux et vit dans un état de terreur et prend des sédatifs et des hypnotiques, il ne dort pas dans sa maison, ne monte pas sa voiture, n’utilise pas de téléphone portable et porte une gilet pare-balles 24 heures sur 24, il a également changé la plupart de ses gardes par des officiers subalternes proches du général Mustafa Samaali, à qui le général Chengriha accorde de l’argent, des avantages, des appartements et voitures, en raison de la relation spéciale et anormale entre les deux hommes.
Le général Chengriha change également de lieu de résidence tous les deux jours dans des villas privées pour la sécurité et le renseignement militaire dans la région d’Hydra et des villas secrètes dans la région d’Ain al-Naaja afin que personne de ses gardes ne connaisse l’endroit où il passera la nuit jusqu’à l’arrivée de son convoi.
De plus, il ne monte jamais dans la voiture qui lui est destinée, de peur d’être aspergé de substances toxiques, et il monte dans l’une des voitures de garde, qui est blindée.
Le général Chengriha sait que les seigneurs de l’Algérie (le général Nezzar et le général Toufik) sont en colère contre le lui.
