Le souverain de l’Algérie, le général Chengriha, a donné ses ordres au ministre de la justice (injustice) d’emprisonner les citoyens libres et tous ceux qui s’opposent aux généraux et d’exercer la répression sur les juges honorables, même s’ils savent que le pouvoir judiciaire est une source de confiance pour le citoyen ordinaire, car il dépend du pouvoir judiciaire pour obtenir justice, en effet, les simples citoyens dépendent davantage du pouvoir judiciaire que du législatif et de l’exécutif, et sans protection judiciaire, leur vie peut devenir misérable, car un pouvoir judiciaire indépendant est toujours la partie la plus importante de tout gouvernement démocratique, et on ne peut pas imaginer un État sans système judiciaire, tout comme un gouvernement sans système judiciaire indépendant est toujours considéré comme un gouvernement autoritaire…
L’indépendance du pouvoir judiciaire est la pierre angulaire de tout pays démocratique et, par conséquent, c’est la structure de la liberté civile, et le pouvoir judiciaire ne peut exercer ses fonctions que lorsqu’il est libre d’appliquer la justice conformément à la loi, et sans être bien organisé et indépendant, il ne peut pas servir son but, donc le pouvoir judiciaire doit être organisé de manière à permettre aux juges de rendre leurs verdicts sans aucune crainte des généraux ni favoritisme pour les hommes d’affaires, le pouvoir judiciaire est le pilier des trois autorités des pays qui adoptent le principe de la pluralité des pouvoirs, c’est de séparer l’autorité législative de l’exécutif et du judiciaire.
Au contraire, notre vision devient plus large que d’être un pilier de l’entité étatique, où l’avancement et le progrès d’un État ne peuvent être imaginés à moins que son autorité judiciaire ne soit avancée dans l’émission de ses jugements et la manière d’y parvenir, pour cela et pour arriver à des verdicts judiciaires justes, il faut atteindre l’intégrité de la justice, nous devons aborder les questions et les principes qui nous conduiront à atteindre ce principe afin que la décision judiciaire puisse être qualifiée de décision correcte qui réalise le principe de justice et non d’être au service des généraux.