La pire chose pratiquée par le régime des généraux pour assurer sa domination continue au pouvoir en Algérie, est l’arrestation arbitraire ainsi que ce qui suit des moyens pour subjuguer les détenus politiques, y compris la torture, voire le meurtre, et le trafics d’organes des détenus dans le but de mettre fin aux pulsions de l’opposition et la rébellion pacifique contre l’autorité en place…
Il ne se passe guère de jour dans les prisons d’Algérie sans exposition des pratiques de ce régime dictatorial en ce qui concerne l’arrestation de leaders d’opinion et de militants pacifiques et leur torture selon des méthodes diverses et variées qui dénotent une insulte à la dignité humaine et la noyade dans le bourbier de la marais sauvage organisée. En effet, en Algérie, il existe de nombreux exemples qui ne peuvent être énumérés en un seul dossier, ainsi, des dizaines de milliers d’opposants et de militants sont détenus dans leurs prisons, beaucoup d’entre eux ont été tués, torturés et maltraités. Des centaines de décès ont été documentés à cause de la torture ou de négligence médicale.
Mais nous nous concentrerons d’un exemple, celui du journaliste et militant des droits de l’homme Mohamed Tamalt, qui était attiré avec la phrase « Si tu étais un homme va à l’Algérie et bat toi ».
En effet, l’ambassadeur d’Algérie en Grande-Bretagne lui a donné des promesses que l’Algérie des généraux avait changé et que la liberté d’expression lui était garantie, mais dès qu’il est entré dans le pays de Mickey, on l’a kidnappé au centre Antar, où les prisonniers d’opinion sont torturés et démembrés, pour y être torturés de manière brutale avec un chiffon plein d’urine qui a été placé dans sa bouche, et il a été complètement déshabillé.
Mais le martyr ne s’est pas agenouillé devant eux et a essayé de se défendre avant d’être frappé avec des tiges d’acier sur la tête, ce qui lui a infligé des blessures profondes à la tête qui s’est déformée, pour être transféré rapidement à l’hôpital militaire à Ain El Naadja, et la fabrication d’un scénario de sa grève de la faim et de sa maladie. Et à Ain al-Naja, après que le régime a su que s’il survivait, il les exposerait, il a été tué et ses organes ont été volés. Et même dernièrement, Hakim Dabbazi, il y a plusieurs sources qui disent que ses reins et son foie ont été enlevés.
