En raison de ses critiques au régime dictatorial en Algérie, le tribunal algérien de Chlef a prononcé une peine d’un an de prison contre l’opposant et homme d’affaires franco-algérien, Rachid Nekkaz, accusé incitation à un attroupement non armé, outrage et insulte à un employé dans l’exercice de ses fonctions, publication et promotion auprès du public de fausses nouvelles qui porteraient atteinte à la sécurité à la paix ou stabilité de la société, travaillant à mettre en danger la sécurité ou la tranquillité ou la stabilité de la société, travaillant à porter atteinte à l’intégrité de l’unité de la nation, d’atteinte à l’intégrité de l’unité nationale et l’affaiblissement du moral de l’armée algérienne.
Nous avons appris de nos sources fiables qu’une peine de prison a été prononcée contre Nekkaz et son neveu pour avoir organisé une manifestation devant le centre de détention arbitraire du quartier Ben Souna afin de manifester contre les enlèvements et les arrestations arbitraires effectuées par des agents de sécurité algériens contre des citoyens, en plus de leur refus de quitter les lieux et de répondre aux services de sécurité qui leur demandaient de quitter les lieux.
