De nombreux observateurs internationaux ont mis en garde contre le rôle militaire iranien croissant en Tunisie et en Algérie, qui se traduit par l’arrivée d’armes iraniennes sophistiquées en Algérie pour se placer en direction et contre des pays de l’Union européenne. En outre, le nombre de personnes pratiquant le Chiisme iranien est passé à cinquante mille en Algérie, dont la plupart dans la ville de Tindouf. En plus de la tentative de l’Iran d’exploiter la crise économique algérienne afin d’influencer les positions officielles algériennes, ce qui est évident chez certains avis dans l’appuie de l’Algérie pour tous les régimes dictatoriaux, de Bachar al-Assad au président du Venezuela, surtout avec l’adhésion de l’Algérie à l’alliance militaire russe, qui comprend l’Iran, la Corée du Nord, la Syrie, le Venezuela et Cuba.
En fait, l’Iran travaille avec un double effort pour consolider ses pieds dans l’État algérien. En effet, depuis septembre 2000, les relations entre les deux pays se sont considérablement développées, et il semble que Téhéran cherche à créer de nouvelles alliances à son compte en Afrique du Nord, non seulement cela, mais l’Iran essaie également d’attiser les divergences entre les pays arabes de cette région. C’est pour cette raison que le Royaume du Maroc a accusé l’Iran de remettre au groupe terrorise le Polisario des drones suicides, ce qui confirme que l’Iran se dirige vers le renforcement de ses relations avec l’Algérie et la Tunisie et déclenche la guerre contre le Maroc, où l’Iran en Algérie a amené la milice terroriste libanaise du Hezbollah pour soutenir le Front Polisario en l’entraînant à la guérilla et en lui fournissant des armes, pour cela de ce jour-là, après le Liban, l’Irak, le Yémen, la Syrie et Bahreïn, l’Iran a commencé à répandre la sédition et la guerre en Afrique du Nord à travers l’Algérie, et l’odeur de son projet a commencé à être renifler dans toute la région avec l’arrivée des combattants chiites et des armes dangereuses à l’Algérie.
