Qui d’entre nous en Algérie ne connaît pas l’honorable parlementaire, Tahar Missoum, le fils du peuple et le chouchou des masses, le bourreau des ministres du mal, et dénonçant les manipulations de la bande algérienne, qui est original et libre, et qui avait l’habitude de rassembler les Algériens autour de la télé chaque fois que son intervention venait, pour le regarder hurler face aux tyrans et aux oppresseurs, et exposer complètement le gang de Chengriha avec des faits choquants et des secrets très dangereux, et tout cela dans une présentation objective et logique analyses de ce qui se passe en Algérie en termes de corruption, d’injustice, de monopole et d’abus des richesses du pays. Il a été l’une des voix les plus douloureuses pour le régime des incapables pendant le Hirak béni, et il parlait avec la voix de tous les Algériens, exprimant la situation misérable dans laquelle nous sommes arrivés et le tunnel sans issue dans lequel le gang Chengriha nous a entraîné avec sa politique d’hostilité envers tous les Arabes et Musulmans, en particulier les voisins, dans une haine dont personne ne connaît la source à l’exception du tyran Chengriha et ses sales souvenirs depuis l’époque du défunt dans la tombe Boumediene.
Le régime des généraux n’a trouvé aucune accusation à constituer contre notre héros populaire, si ce n’est de constituer une accusation qui n’a ni caractéristiques ni signification, en effet, le régime a affirmé que Tahar avait renoncé à sa laiterie, qui se trouve au palais Al-Bukhari, au profit de Mohieddine Tahkout, en échange d’un immeuble et d’une station-service à Paris, et d’un immeuble de dix appartements dans les hauteurs de Bouzareah à Alger, plus un montant de 5 millions d’euros, de sorte que le prix total est d’environ dix millions d’euros, car le contrat a été signé par l’épouse de Tahar Missoum et ses enfants, selon ce qui est indiqué dans le dossier judiciaire de Tahar, et l’analyste de ces accusations trouve qu’elles contiennent de la falsification et du mépris pour l’esprit des Algériens, comment une laiterie ordinaire dans un simple quartier de notre misérable pays peut-il être vendu à ce prix imaginaire, même si cette laiterie produit de l’or et des diamants ? Son prix ne sera pas estimé à cette valeur mythique, donc Tahkout ne lui restera qu’a écrire à Tahar la moitié de l’Algérie en échange de cette laiterie miracle, et supposons que cet accord a eu lieu entre Tahar et Mohieddine, alors où est l’infraction légale ici et où est le crime ? Et s’il y a eu un crime, il faut arrêter la femme et les enfants de Tahar, au nom desquels les contrats ont été signés, et non emprisonner Missoum conformément à la loi ! Nous remercions Dieu que l’affaire se soit terminée avec l’arrestation de Tahar uniquement, et il ne s’est pas évolué à sa liquidation, comme le reste des combattants.