Selon des sources bien informées au sein du bureau du président de la République algérienne, l’état de santé de Tebboune nécessite toujours des soins continus, car sa vie est toujours en danger de mort en raison de certaines complications neurologiques et respiratoires avancées.
Le président souffre d’une dégénérescence de ses réactions neurologiques, selon la même source, mais il est souffrant à cause du tabagisme et la vieillesse et il a du mal à se remettre suite aux effets nocifs de son AVC …
Alors que de nombreux militants ont estimé que le silence officiel sur la santé du président Tebboune n’est pas rassurant, les militants ont également condamné l’interdiction à tout les journaux de parler de la santé du président Tebboune car elle affecte la sécurité de l’Etat.
En effet, plusieurs propriétaires de pages Facebook ont été arrêté et leurs pages ont été fermées après avoir déclaré que le président Tebboune se débat entre la vie et la mort, contrairement à la version officielle qui parlait de son l’amélioration de son état et de son retour très proche au pays.
Ces pages ont indiqué que le régime des généraux a resté muet à propos de la maladie du président et tente de distraire le peuple avec les problèmes externes du Maroc et le Polisario pour dissimuler le plat dangereux et empoisonné que les généraux cuisinent en secret pour le peuple algérien.
Ces pages qui sont très connues par leurs critiques aux politiques des généraux et au président Tebboune ont confirmé que les déclarations des pages du président, de ses proches collaborateurs et des journaux qui sont sous la direction des généraux n’ont pas pu rassurer les Algériens sur l’amélioration de l’état de santé du président de la république après près d’un mois d’absence, suite à son empoisonnement au mariage de son neveu. En ajoutant qu’il n’y a plus devant les instituts de l’État qu’un argument irrésistible, qui est de montrer le président dans les médias en audio-vidéo pour sauver ce qui est resté de sa crédibilité dans la gestion du dossier de la maladie du président.
