En raison de la politique ratée et oppressive des généraux, les jeunes Algériens vivent dans la frustration, les douleurs et l’aliénation dans leur propre patrie à l’ombre des rêves roses qu’ils ont vécus en espérant que leurs conditions s’amélioreraient et que leurs espoirs d’un bon travail, de revenus raisonnables et d’un logement sûr seraient exaucés et l’occasion d’achever la cérémonie de leur mariage avec ceux qu’ils aiment.
En effet, leurs rêves sont liés à l’avènement du jour où le système des généraux chute pour pouvoir profiter de leur dignité et liberté, et se réconcilier avec leurs proches vivant le même pays …
Et dans le cadre de la politique des généraux, qui a causé la mort des milliers de jeunes algériens en mer, l’organisation caritative privée, « Médecins Sans Frontières » a annoncé dans un communiqué que ces derniers jours avaient été marqué par l’un des épisodes tragiques les plus meurtriers dans la région centrale de la Méditerranée cette année, En effet, 100 personnes en provenance de la Libye et de l’Algérie sont mortes en mer, alors que quatre naufrages distincts se sont produits en moins de 72 heures, et six navires de sauvetage d’organisations non gouvernementales sont toujours détenus dans les ports par les autorités italiennes et européennes.
En outre, la conseillère aux affaires humanitaires de Médecins sans frontières a déclaré qu’il y avait assez de vagissements et de gémissements sans action sur la perte de vies. La responsabilité de ces décès incombe aux dirigeants des pays d’immigration, car c’est le résultat réel et inévitable de leurs politiques oppressives et économiquement échouées. Ils doivent cesser de parler sans travailler et reconnaître leur responsabilité dans le cas de naufrage des embarcations, et qui est le résultat direct de leur approche sociale et économique.
Le communiqué a ajouté qu’environ 700 personnes sont mortes en essayant de fuir l’Algérie et la Libye en essayant de traverser la Méditerranée en 2020, c’est pourquoi il faut trouver des solutions radicales, et non pas des solutions superficielles.
Et de notre tribune, nous disons à l’organisation « Médecins sans frontières » que «Ne tuez pas les moustiques, mais séchez les marais où elles se reproduisent», Autrement dit, le phénomène de l’immigration clandestine en Algérie ne prendra pas fin tant que le régime des généraux n’ait pas tombé.