En Algérie, les politiques ratées menées depuis (l’indépendance) jusqu’au moment de la propagation de la crise du Coronavirus peuvent nous conduire tous à des pertes bien supérieures à la perte attendue en cas de propagation importante de l’épidémie.
En effet, ces politiques n’ont pas réussi à freiner la propagation du virus ni à épargner au pays et à la population les effets secondaires et les pertes catastrophiques liés à l’économie et autres …
Par conséquence, cela conduirait à la conclusion confirmée que le peuple algérien paiera un prix élevé à la suite de ces politiques ratées que les généraux mènent actuellement, surtout à la lumière de la crise économique mondiale globale qui s’abat fortement sur nous tous.
Par ailleurs, si le nombre de chômeurs aux États-Unis a augmenté de 1,7 million depuis le début de la crise du Coronavirus à 33,5 millions de personnes en octobre dernier, malgré le fait que de nombreux secteurs n’ont pas arrêté leurs activités en Amérique, alors qu’en est-il de l’Algérie qui a tout arrêté? Et où va l’économie algérienne face à cette pandémie? Et pouvons-nous aussi nous interroger sur la pauvreté là où elle est arrivée et où elle arrivera si nous savons que les pays du monde injectent de l’argent entre les mains du peuple sous forme d’aide, alors que le système des généraux retire de l’argent aux gens, réduit leurs salaires, leur enlève les subventions, voire même transfère les dépôts de l’État algérien sur les comptes des généraux au Panama et Dubaï. Ce qui a poussé les habitants de la wilaya de Djelfa dans la plupart des municipalités se réveillent sur des vagues humaines enlacer les uns aux autres et difficiles à contrôler, faisant de longues queues devant des bureaux de poste malgré les conditions sanitaires dangereuses et ce qu’elles imposent de distanciation physique, et tout cela par ce que les salaires de plusieurs secteurs ont été versés à des heures très proches.
En plus du manque de liquidité monétaire et des bureaux mobiles ainsi que de guichets automatiques, ce qui a généré un état de mécontentement et de colère qui s’est souvent traduit par des protestations et des coupures de routes à proximité des bureaux de poste, alors les clients du poste d’Algérie partageaient le même avis.
En fait, le ministère des Postes porte la responsabilité face à la grave congestion et aux longues files d’attente devant ses bureaux et qui contribuent à la propagation du Coronavirus et exacerbent la crise psychologique des Algériens, ce qui a augmenté le nombre de suicides en Algérie.