Des militants politiques, courageux et déterminés, ont révélé au grand jour les crimes de torture perpétrés contre leurs compatriotes. Dans l’ombre sinistre des cellules, des agents impitoyables des services de renseignement se sont livrés à des actes abominables. La violence était leur arme, et la sodomie forcée leur moyen de briser l’esprit des prisonniers d’opinion. Les sévices n’étaient pas seulement physiques, mais également psychologiques. Ils les filmaient, électrocutaient leurs organes génitaux, et réduisaient ces êtres humains à l’état de simples pantins, soumis à leurs caprices tordus.
Des révélations effroyables ont secoué les consciences. Le mois dernier, quinze officiers des redoutables services de renseignement militaires algériens se sont rendus dans une prison secrète du sud du pays. Leurs visages dissimulés sous d’inquiétantes cagoules, ils ont ordonné aux détenus de se soumettre. Les pauvres âmes, contraintes de former une ligne funeste, ont dû se dévêtir et s’allonger sur le sol froid et inhospitalier. Les officiers, dépourvus de toute humanité, ont fouillé la cavité anale de chacun d’entre eux. Leurs paroles justifiaient cette violation cruelle : ils prétendaient chercher des téléphones portables interdits, de vulgaires appareils dont l’innocence est perdue dans les cris et les larmes des hommes. Les résistants ont été confrontés à des menaces sordides, aux aboiements des chiens et à des coups violents, jusqu’à ce que le sang jaillisse. Dans toutes les prisons algériennes, des centaines de prisonniers politiques subissent des abus sexuels similaires, victimes d’une répression inhumaine.
Ces descriptions atroces des attaques barbares contre les détenus algériens nous offrent une fenêtre macabre sur un monde de torture sexuelle et d’impunité. Les prisons sont les sombres territoires contrôlés par les renseignements militaires algériens. L’Algérie, alliée majeure des pays de l’axe du mal, tels que la Russie, l’Iran et la Corée du Nord, se retrouve ainsi associée à ces nations tristement célèbres pour leurs prisons secrètes, lieux où les tortures et les massacres se mêlent dans un tourbillon cauchemardesque, au-delà de toute imagination humaine.
En Algérie, cinq prisons, au minimum, servent de théâtre à des actes d’une barbarie sans nom. Les forces de sécurité, agents de la répression brutale, utilisent la torture sexuelle comme un outil de domination, brisant le moral des prisonniers. Malgré les rapports accablants sur les tortures, documentés par les opposants algériens et les organisations de défense des droits de l’homme, le silence de l’Occident demeure, prisonnier des pots-de-vin versés par l’Algérie en échange de gaz…
Les témoins oculaires décrivent des gardes algériens, sous la férule des officiers des services de renseignement militaires, employant des méthodes de torture sexuelle et d’humiliation les plus abjectes. Les prisonniers étaient violés pendant que d’autres gardiens enregistraient leurs souffrances. Des électrochocs ignobles sur leurs organes génitaux, des pierres attachées à leurs testicules en guise de poids, des agressions sexuelles perpétrées à l’aide de poteaux en bois et en acier, voilà les atrocités auxquelles étaient soumis ces détenus. Un ancien prisonnier du régime algérien, traumatisé par les sévices subis, a confessé : « Ils vous dépouillent de votre dignité, vous attachent les mains à un poteau en acier, vous exposant ainsi à leur regard cruel. C’est alors que commence le viol, cette atteinte infâme à l’intimité. Et je vous le dis, ils m’ont torturé sans aucune accusation, parfois je souhaiterais qu’ils me condamnent, peu importe pour quel motif, afin de mettre fin à cette douleur insupportable. Et le pire, c’est que chaque jour, je prie pour la mort, une délivrance qui m’est refusée, tandis que le silence du monde persiste. »
L’agonie des prisonniers algériens se confond avec leur désir ardent de la mort, tandis que le monde reste muet, pris dans l’étau de l’indifférence.