Quelques jours avant les actes barbares de destruction et d’incendie en France et dans un contexte de tensions entre Paris et Alger, le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a récemment réintégré un couplet anti-France dans la version longue du Kassaman, l’hymne national du pays. Il s’agit d’une partie du texte que certains responsables algériens avaient auparavant tenté de supprimer. Pendant que la relation entre les deux pays traverse une série de crises, le président Tebboune a rétabli par décret présidentiel précédent émis en 1986 la partie qui comportait une menace envers la France, tandis que cette partie avait été supprimée des manuels scolaires en 2007. Cette décision intervient après le report à plusieurs reprises de la visite du président algérien à Paris, la capitale française. Le passage précédemment supprimé et réintroduit actuellement mentionne la France en formulant une menace de la part des Algériens envers la France, disant : « Ô France ! Le temps des palabres est révolu. Nous l’avons clos comme on ferme un livre. Ô France ! Voici venu le jour où il te faut rendre des comptes. Prépare-toi ! Voici notre réponse. Le verdict, notre révolution le rendra, Car nous avons décidé que l’Algérie vivra ».
De nombreux militants algériens affirment que cette mesure a été perçue comme un feu vert pour les cellules dormantes qui opèrent et contrôlent la communauté algérienne en France, afin de commencer des opérations de vol et de destruction.
En effet, les Algériens en France ont incendié des dizaines d’autobus, environ 2 000 voitures, des poubelles, des stations de transport en commun et des centaines de magasins. Les Algériens ont également pillé et volé des commerces et des banques dans différentes régions de la France. Depuis le mardi dernier, la France a connu une vague de protestations à cause d’un complot orchestré après la mort du le jeune Nahe tué par un policier français, qui s’est ensuite transformé en opérations de pillage, de vol et d’incendie de voitures et de magasins. Les manifestants ont attaqué 31 centres du ministère de l’Intérieur, 16 postes de police municipale et 11 casernes de gendarmerie. La police française a annoncé l’arrestation de seulement 1 000 personnes sur le territoire français, dont la plupart ne sont pas algériennes, car les Algériens les poussent à participer aux opérations de destruction afin que la police les arrête, tandis que les vrais criminels restent impunis. Ce qui est étrange, c’est que les services de renseignements et la police française sont au courant de cette situation et laissent chaque fois l’occasion aux Algériens de détruire Ville Lumière. Il y a donc plusieurs questions qui se posent, notamment concernant une éventuelle infiltration algérienne au sein des services de renseignement français. En effet, il est allégué que les Algériens contrôlent les revenus de la prostitution non réglementée, le trafic de drogue et de biens volés en France. De plus, il est souligné que les chefs algériens ne sont pas arrêtés, comme en témoigne la situation dans la zone de Barbès à Paris, où les Algériens semblent exercer un contrôle et où des activités illégales se déroulent sans que la police n’intervienne pour nettoyer cette zone ou renvoyer les Algériens dans leur pays.