Politique

Le régime des généraux réprime brutalement les opposants, ce qui n’existe plus qu’en Algérie

Le journaliste et militant des droits de l’homme algérien Mohamed Larbi Zitout a confirmé que le régime des généraux a intensifié ses pratiques répressives contre les journalistes et militants des droits de l’homme algériens d’une manière sans précédent, en ciblant leurs familles, les arrêtant pour faire pression sur eux, considérant que le pays, actuellement connaît connaît sa pire période depuis la décennie noire, et que la tyrannie militaire a tué la presse indépendante de la république.

 

Lors d’une interview à la presse, Zitout a déclaré : « C’est la pire période que vit l’Algérie sous le régime du tyran Tebboune, la peur est devenue dominante parmi les élites, les opposants au pouvoir et même les simples citoyens, ajoutant : La répression ne se limite plus aux seuls militants persécutés, mais s’est étendue à leurs familles, le régime barbare harcèle désormais les militants honorables, même s’ils sont peu nombreux, et arrête même certains proches de journalistes et de militants des droits de l’homme pour faire pression sur la personne persécutée, et le Monde, très répandu en Europe, décrit Zitout comme le dernier journaliste indépendant qui s’est rebellé contre le situation actuelle et un dernier courageux dans une république qui a avorté toutes les libertés et imposé une censure absolue sur tous les médias, alors que ses confrères journalistes et défenseurs des droits de l’homme passent des années derrière les barreaux sur la base d’accusations que les organisations de défense des droits de l’homme considèrent comme fabriquées et malveillantes, dans un but de vengeance de tous ceux qui se sont mis à s’insurger contre le régime militaire ou à s’y opposer.

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Et Zitout est conscient des dangers qui le menacent et déclare : Être journaliste en Algérie, c’est affronter chaque jour d’innombrables problèmes, expliquant que le premier problème est la subjectivité imposée par le journaliste pour se protéger des poursuites ou de la détention car le régime des généraux a une tolérance zéro pour les critiques et impose un harcèlement sans précédent aux journalistes et aux non-journalistes, et il a poursuivi en disant : Le régime dictatorial des généraux est un prédateur majeur de la liberté d’expression en Algérie, soulignant que l’appareil sécuritaire barbare contrôle étroitement les médias d’une main de fer, et que tous les médias visuels, écrits et audio tambourinent et applaudissant au nom de Tebboune et la bande, et les quelques éléments qui tweetent en dehors des batteurs sont étranglés au berceau.

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