Politique

Les généraux tentent d’exporter sur le continent africain l’expérience réussie de la répression des Algériens et le bâillonnement de leurs bouches

En Algérie, nous sommes toujours face à une chaîne de mensonges qui n’a ni limite ni fin, avec le régime des « généraux » infirmes, qui utilise ses armes tachées du sang des Algériens, des personnes âgées et des enfants, des femmes et des hommes, pour terroriser les citoyens, faire taire les bouches, affamer les estomacs et engourdir les esprits avec les drogues qu’ils fabriquent et l’utilisent pour inonder la république et toute la région, ils n’ont aucun souci sauf la présidence et collecter de l’argent et des richesses, quelle que soit ses origine, et après tout cela, le ministre des Clowns, Ayman Ben Abdel Rahman, vient nous dire : « L’Algérie est prête à mettre son expérience pionnière dans le domaine des droits de l’homme à la disposition des pays africains pauvres», oui, croyez-le ou non, le régime qui a exterminé la moitié du peuple Kébili et  a tué un quart de million de citoyens dans la décennie noire et le déplacement de centaines de milliers d’Algériens, tentent d’exporter son expérience réussie dans l’assassinat des peuples opprimés, l’étouffement des voix rauques et le bâillonnement des bouches assoiffées des régimes putschistes et des mouvements séparatistes en Afrique, c’est ce que notre vénérable régime peut exporter avec des prostituées qui aiment l’armée en guise de gage.

Mais sur le terrain, c’est tout autre chose : Clément Nyaletsossi Voule, le rapporteur des Nations Unies sur le droit de réunion et d’association pacifique, a mis en garde contre les restrictions imposées à l’espace civique en Algérie, appelant à mettre fin au climat de peur et de terreur qui affecte la société civile, il a souligné dans un communiqué de presse à l’issue de sa visite en Algérie que le fait qu’un grand nombre d’acteurs de la société civile soient confrontés à des accusations liées au terrorisme en vertu de l’article 87 bis du Code pénal est une preuve du climat actuel de méfiance à l’égard des acteurs de la société civile et des citoyens, il a exprimé son inquiétude face à la situation misérable des associations actives dans le domaine des droits de l’homme, récemment dissoutes et leurs membres en détention, il a également exprimé son inquiétude quant au non-octroi des licences à de nombreux partis politiques d’opposition et l’exposition d’autres partis à des poursuites judiciaires et à des arrestations secrètes, ou à des décisions de gel de leurs activités et de fermeture de leur siège pour une durée indéterminée.

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