Suite à l’intense activité des groupes terroristes en Afrique, les rapports des services de renseignement internationaux ont récemment confirmé des liens étroits entre le régime algérien et le terrorisme international. Plus précisément, des connexions ont été établies avec des groupes financés par l’Iran en Afrique, en collaboration avec le Front Polisario et le système bancaire algérien, qualifié de « retardé et bureaucratique ». Ces rapports soulignent que l’économie algérienne demeure sous le contrôle des généraux, avec une influence significative du commerce sur le marché noir.
Il est noté que l’Algérie maintient sa position en tant que partenaire important des groupes terroristes en Afrique, avec une histoire de longue date dans ce domaine. Des ressources substantielles auraient été allouées à cette fin. Certains rapports indiquent la présence de cinq organisations terroristes en Afrique directement affiliées aux services de renseignement algériens. Ces groupes utiliseraient des armes iraniennes et bénéficieraient de l’entraînement de combattants du Hezbollah iranien, avec une mention spéciale de « Boko Haram » au Nigeria.
Les conclusions des rapports émettent un jugement sévère envers l’Algérie, soulignant son rôle actif dans le soutien au terrorisme et les mesures prises pour propager ce phénomène en Afrique. Sur le plan sécuritaire, l’Algérie est accusée de déstabiliser les pays du Sahel, mettant en lumière les menaces auxquelles elle est exposée. Les rapports suggèrent que les problèmes vécus par les pays voisins, ainsi que les dangers liés au trafic de drogue et au marché parallèle, pourraient se retourner contre l’Algérie.
En ce qui concerne les organisations terroristes opérant en Algérie, les rapports révèlent une dépendance de ces groupes à la formation de terroristes africains dans les camps du Front Polisario, utilisant des engins explosifs, des explosions, des fausses barrières et des enlèvements. Les enlèvements perpétrés par Boko Haram et d’autres groupes terroristes sont signalés comme étant coordonnés depuis l’Algérie.
Le rapport souligne également le risque financier que représente le marché parallèle contrôlé par les généraux, en raison du caractère « retardé » et bureaucratique du système bancaire en Algérie. Il met en garde contre la possibilité que ce marché parallèle finance des activités terroristes, soulignant ainsi une dimension économique de la menace terroriste en Afrique.