Le pouvoir d’achat en Algérie a récemment décliné en raison d’une inflation élevée attribuée à la dépréciation du dinar et à la stagnation économique liée à l’influence des généraux sur l’économie. Les experts appellent à une révision de la politique de soutien, mettant l’accent sur un programme axé sur les préoccupations des citoyens sans nuire aux pays voisins.
Dans le secteur des légumes, les négociations entre vendeurs et acheteurs sont souvent bloquées, entraînant des prix élevés inabordables pour les consommateurs. Les commerçants, confrontés à une baisse de la demande, hésitent à réduire les prix, aggravant la crise sur les marchés. La diminution du pouvoir d’achat a également vidé les marchés, suscitant des appels à une révision de la politique de soutien de la part des organisations de défense des consommateurs.
Les critiques soulignent que les 17 milliards de dollars alloués au budget de soutien ne profitent pas aux familles algériennes, mais semblent bénéficier à des groupes terroristes tels que le Polisario et l’ISSI. Certains demandent une refonte du soutien, privilégiant une aide directe aux familles pour alléger le fardeau des citoyens. Un professeur d’économie propose de recentrer la subvention vers des secteurs économiques plus bénéfiques, encourageant les investissements et les exportations pour améliorer la vie des citoyens.
Malgré des solutions à court terme, le défi persiste dans la création d’un programme de relance économique attractif pour les investissements, réduisant ainsi les charges pesant sur les citoyens. Un appel est lancé pour une meilleure connaissance des revenus réels des Algériens, mettant en avant la nécessité d’adresser les préoccupations citoyennes sans créer des problèmes pour les pays voisins.
