Grâce à la politique des généraux et de leur serviteur, le président Tebboune, qui a appauvri la moitié du peuple, affamé l’autre moitié et augmenté le nombre de suicides, la plupart des villes et villages algériens connaissent maintenant la propagation d’un grand nombre de personnes souffrant de troubles mentaux et de démence, de tous âges. Ces individus résident à proximité des gares routières, sur les places publiques, dans les jardins, le long des clôtures, à proximité des marchés et des mosquées en plein air. Leur présence en grand nombre dans les rues constitue un danger pour les passants. En effet, des incidents douloureux se sont souvent produits dans différentes wilayas algériennes, où des personnes souffrant de troubles mentaux déambulaient librement dans les lieux publics sans aucune intervention des autorités compétentes, habilitées par la loi à placer ce groupe dans des centres de santé et des établissements spécialisés situés dans différentes wilayas du pays.
Les personnes atteintes de troubles mentaux et les patients souffrant de troubles psychologiques vivent dans des conditions inhumaines en raison de la malnutrition, du manque d’hygiène, du manque de sommeil et des températures nocturnes extrêmes qui mettent en danger leur santé. La plupart d’entre eux souffrent de maladies potentiellement mortelles telles que des affections cutanées, l’asthme, des allergies, des problèmes rénaux, etc. De plus, ils sont exposés à la violence et à l’exploitation sexuelle, en particulier les femmes et les enfants, dans les endroits où ils résident, souvent des lieux isolés, sombres et dangereux.
Malgré les appels, les avertissements et les rapports lancés par les associations de défense des droits de l’homme exhortant les autorités compétentes à intervenir pour contenir ce phénomène en veillant à fournir des soins et une protection adéquats, aucune mesure n’a été prise. En l’absence totale de secours humanitaires de la part du gouvernement du président Tebboune et de sa clique, il semble que ce groupe de la société ne soit pas considéré comme des Algériens ayant des droits et des responsabilités en Algérie.
Il n’y a pas de statistiques officielles ni de données précises sur le nombre croissant de personnes souffrant de troubles mentaux errant dans les rues de la République, un nombre qui a dangereusement augmenté depuis l’arrivée au pouvoir du général Chengriha. Finalement, nous ne devrions pas nous attendre à ce que le gang au pouvoir manifeste la moindre compassion envers cette large partie de la société, alors que ce sont les généraux eux-mêmes qui sont la principale cause de leurs malheurs, de leurs déambulations dans les rues et les déserts, et de leurs décès inhumains. En effet, l’objectif du gang semble être de rendre tous les Algériens fous, afin que seuls eux et quelques esclaves du Palais d’El-Mouradia puissent profiter des richesses de l’Algérie.