Politique

Par ignorance et par peur, l’Algérie est le seul pays au monde qui peut être gouverné par le portrait du président seulement

Dans tous les pays du monde où vivent des gens libres et non des esclaves, les responsables se déplacent d’est en ouest pour identifier et résoudre les problèmes des citoyens, sauf en Algérie, où les citoyens croupissent dans l’ignorance, la pauvreté et la peur. Le portrait du président du pays peut faire avancer les choses pour les Algériens et assister à des réunions importantes. Il en est même venu à parler au portrait du président et à prendre ses suggestions sur des questions importantes pour l’Algérie.

Ces derniers jours, le portrait du président algérien Tebboune, utilisé par de hauts responsables en Algérie pour compenser son absence à une réunion importante, a provoqué un grand émoi en Algérie. Un groupe de militants est sorti dans les rues pour protester contre l’accrochage des effigies dans le pays des généraux, critiquant vivement un leader incapable même d’assister à des réunions cruciales sur les problèmes de l’Algérie. Les militants ont exprimé leur profond mécontentement face aux développements survenant pendant la période de préparation des prochaines élections présidentielles. Ils ont souligné qu’ils ne donneraient pas leur voix à un candidat incapable et dont la santé physique et mentale n’est pas garantie. Sur les réseaux sociaux, des militants ont moqué l’image placée par les responsables en l’habillant de burnous, affirmant « Nous voulons qu’un être humain gouverne l’Algérie, pas un cadre. » Ils ont ajouté dans des commentaires publiés sur des pages Facebook populaires que le « cadre » ne peut pas gouverner le pays, et que le peuple algérien devrait en être conscient et surprendre l’entourage du président Tebboune en votant pour un autre candidat. L’un des politiciens de l’opposition algérienne a déclaré dans un entretien enflammé il y a quelques jours que le Président Tebboune n’était pas au courant de sa candidature à un second mandat et que ceux qui l’entouraient exploitaient sa détérioration mentale et sa santé pour le contrôler, lui et les rênes de la gouvernance.

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