En Algérie, le règne tyrannique des despotes au pouvoir dépasse les limites de la cruauté. Non seulement ils condamnent le peuple à la famine et à la pauvreté pour servir une cause perdue, détournant ainsi les richesses nationales vers les poches corrompues des dirigeants du Polisario et de leurs complices, mais ils poussent également les Sahraouis dans des camps de détresse et d’humiliation. Là-bas, ils les abandonnent à la merci des milices brutales du Polisario, utilisant ces innocents comme des pions dans leurs jeux politiques sordides. Pire encore, ils répriment violemment toute tentative de survie indépendante, allant jusqu’à traquer et assassiner ceux qui osent chercher un moyen de subsistance en dehors de l’emprise cauchemardesque du Polisario. Ces actes de barbarie sont récemment illustrés par l’attaque meurtrière contre trois Sahraouis, qui ont été pourchassés comme des criminels de film d’action dans les environs de Tindouf.
En effet, le forum « Ahrar Tindouf » a rapporté de manière choquante la mise à mort de trois Sahraouis, abattus de sang-froid par des balles réelles, accompagnés de photos macabres témoignant de l’horreur de leur destin. Ces victimes étaient pourtant de simples chercheurs d’or, tentant désespérément de subvenir aux besoins de leurs familles dans un contexte de misère imposée par un régime militaire oppressif, soutenu par les dirigeants du front séparatiste. L’incident s’est déroulé dans la région d’Erg Iguidi, où une patrouille militaire a poursuivi et tué ces jeunes sans aucun égard pour leur vie. Alors qu’un des Sahraouis a été abattu sur le coup, un autre a succombé à ses blessures, tandis que le troisième reste entre les mains des autorités algériennes, privé même de la dignité d’une sépulture décente. Ces actes abjects ne sont que le dernier exemple en date de la brutalité sans limite de l’armée algérienne, qui n’hésite pas à employer des méthodes barbares pour réprimer toute velléité de résistance ou de recherche de liberté. Il est clair que la vie des Sahraouis n’a aucune valeur pour ce régime, qui préfère les abattre froidement plutôt que de les laisser exprimer leurs aspirations légitimes.
