Dans l’Est congolais, une guerre intestine fait rage entre deux parties en conflit sans relâche depuis les années quatre-vingt-dix du XXe siècle, ses interactions conflictuelles varient entre la guerre chaude et directe, parfois similaire aux première et Deuxième guerres du Congo, et entre les manifestations de la guerre par procuration existante à d’autres moments, qui apparaissent dans des déclarations hostiles, des violations des frontières et un soutien mutuel aux affrontements inégaux des Agents des parties armées et de leurs partenaires de sécurité, dont les caractéristiques se sont également manifestées rapidement avec le début de 2024, culminant avec la déclaration du porte-parole officiel de l’armée congolaise au Nord-Kivu en février 17, 2024, avec des déclarations condamnant la violation des marches offensives des frontières de l’armée rwandaise Le territoire de la République démocratique du Congo; pour cibler des avions appartenant aux forces armées, sans atteindre aucun objectif confirmé, seuls des blessés légers et quelques avions civils ont été endommagés.
L’attaque-malgré ses pertes relativement faibles-témoigne d’un environnement de conflit qui fait rage dans l’Est congolais. De toute évidence, ses complexités sécuritaires semblent héritées en raison de la dynamique qui en découle, organisant ses fils et triant ses dangereuses répercussions. Il est clair pour l’Observateur que cela est principalement dû aux premiers catalyseurs des première et Deuxième guerres du Congo sur la lutte d’influence, la domination régionale, les ressources et l’héritage historique associé aux conséquences du génocide, et ses conséquences de l’afflux de réfugiés et de l’émergence de milices et d’organisations rebelles armées, qui à leur tour ont empêché la réalisation de tout effort de paix et de règlement, en particulier depuis 2003, lorsqu’il a été convenu de lancer un accord de paix entre les parties en conflit, et la formation d’un gouvernement de transition à Kinshasa dirigé par Joseph Kabila.
Il est bien connu que ces efforts n’ont pas réellement mis fin au conflit existant, et n’ont abouti à aucune éradication définitive de ses motivations et motivations, dans la mesure où il est passé d’une guerre chaude à une guerre par procuration, dans laquelle les procurations et les milices armées jouent un rôle clé, en particulier les mouvements du 23 mars et de libération du Rwanda soutenus respectivement par le Rwanda et le Congo démocratique, et l’arment et le transforment en parti politique en échange d’un cessez-le-feu et d’une réintégration au sein de l’armée nationale congolaise.