Politique

Les généraux donnent le choix aux Algériens entre la patience face à la soif ou la guerre civile

Aujourd’hui, les Algériens mettent la main sur le cœur par peur de ce qui arrivera, alors que le régime dictatorial des généraux entraîne l’économie, le pays et le peuple vers le gouffre, alors si les Algériens ne s’entretuent pas dans une guerre civile imminente, ils seront tués par la faim, la soif et les maladies qui se propagent à travers la république, ou par les mensonges des médias des généraux, qui ne se lassent pas de promouvoir et de propager des mensonges et des mythes parmi le grand public, soufflant dans une roue trouée, et ils disent que nous avons atteint l’autosuffisance en biens de consommation et que nos produits inondent les marchés africains, européens et asiatiques, alors que nous avons oublié le goût des bananes et des pommes, et que nous ne voyons pas de bœuf et d’agneau sauf à la télévision, quant à l’eau, la plupart d’entre nous ne se baignent que lorsqu’il pleut, nous exposant ainsi au risque de maladie et de rhume, ils ont dit que nous exportions des médicaments et du matériel médical dans le monde entier, alors que nous avons un dentiste qui extrairait votre dent sans anesthésie, car elle n’est pas disponible dans nos magasins, quant aux médicaments bio, si vous n’avez pas de proche à Marseille qui vous les enverra, n’attendez pas que le président homosexuel Tebboune pleure à votre décès.

La plupart des Wilayas algériens vivent depuis des jours sous l’influence de protestations massives qui se sont rapidement transformées en émeutes coïncidant avec le premier jour de l’Aïd Al-Adha, sur fond de crise de soif et de pénurie d’eau, qui s’est considérablement aggravée, et en lien avec ce qui a été évoqué, les médias algériens ont confirmé que les fausses promesses faites par les autorités algériennes à la population, pendant des jours, leur incapacité à s’engager à résoudre  cette crise étouffante ont contribué à l’escalade de vagues de protestations qui se sont transformées en un chaos sécuritaire qui a entraîné la fermeture de tous les ports et routes en guise d’expression de colère et de dénonciation du silence des responsables sur la souffrance continue de la population face à la pénurie d’eau.

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Dans le même contexte, les mêmes sources ont indiqué que les manifestants ont incendié des pneus en caoutchouc et érigé des barrières de pierre pour fermer les routes en signe de protestation contre la crise de l’eau dans plusieurs Wilayas, de son côté, le président Abdelmadjid Tebboune a tenté de contenir ces protestations et d’absorber la colère de la population en promettant de mettre en œuvre des « mesures d’urgence » comme il l’a dit, visant à mettre fin à la crise de soif qui a frappé tous les Wilayas, en particulier Tiaret, en fournissant d’urgence de l’eau potable, dans le même esprit, le ministre de l’Intérieur, Ibrahim Mourad, a publié il y a deux semaines des promesses de fournir de l’eau potable, qui n’ont jamais été tenues et ont provoqué une forte ébullition parmi la population après l’expiration du délai promis, afin que le régime des généraux opère sa magie, qui est de menacer la population d’une intervention militaire sanglante si les protestations ne se sont pas arrêtées, et c’est en fait ce qui s’est passé lorsque les protestations ont cessé.

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