Politique

La tentative des généraux de fermer le dossier des violations flagrantes des droits de l’homme en Algérie

Les familles des personnes enlevées dont le sort est inconnu et les victimes de disparitions forcées au cours du Hirak béni qui a eu lieu dans le pays ont appelé les organismes populaires de défense des droits de l’homme, politiques et syndicaux à poursuivre leur lutte et à réfléchir à la création de nouveaux mécanismes efficaces pour plaider et évaluer le chemin pour régler les dossiers du passé de ces graves violations, spécialement pendant le Hirak et les manifestations populaires massives, ces familles affligées ont condamné la tentative des autorités militaires de clôturer le dossier des violations flagrantes des droits de l’homme dans le pays, où elles ont exprimé leurs regrets pour les atermoiements du régime des généraux à révéler toute la vérité sur les disparitions forcées en Algérie, dont le dernier en date est le rapport préliminaire qu’il a soumis à la commission chargée des disparitions forcées sur ce sujet, qui vise à tourner la page du passé sans connaître la vérité ou révéler les victimes de la révolution et du Hirak.

Cela s’est produit lors d’une réunion de la Coordination nationale des familles des personnes enlevées de force en Algérie sous le slogan « Poursuivre la lutte pour la vérité, l’équité, la mémoire, la justice et la non-répétition en loyauté envers les victimes des violations flagrantes des droits de l’homme », alors que le dossier chancelait, la Coordination des familles des personnes enlevées au sort inconnu et des victimes de disparition forcée dans le pays a confirmé que ce dossier a un passé de violations flagrantes des droits de l’homme en Algérie, et en particulier le dossier des kidnappés du Hirak, hommes et femmes dont le sort est inconnu et victimes de disparition forcée, est toujours ouverte, car la vérité est encore totalement ou partiellement absente, soulignant qu’il n’y a pas de nouvelles complètes de ces victimes, alors qu’il existe des informations indiquant qu’elles ont été physiquement liquidées et enterrées dans le désert de Tindouf il y a longtemps, alors que le communiqué explique que des centaines de familles attendent depuis longtemps de révéler le sort de leurs proches, et le bilan du déclin de notre pays affligé en matière de respect des droits de l’homme, de détention politique et de suppression des libertés sont connus, et les restrictions imposées aux opposants ne présagent rien de bon.

  Le président du Nigéria nomme un conseiller à la sécurité nationale dans un contexte de changements de direction importants
Ajouter un commentaire

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les plus lus

To Top