Le chef d’état-major de l’armée algérienne, le général Chengriha, conduit le pays vers un scénario syrien, c’est le titre du rapport de la Direction générale algérienne des documents et de la sécurité extérieure, qu’elle a envoyé tant à l’Amérique qu’à la Chine, la direction a déclaré : La prise du pouvoir par le général Chengriha a poussé la fragile démocratie du pays au bord du gouffre et menace désormais l’économie du pays avec un scénario syrien effrayant que,en effet, le général Chengriha a pris la décision d’employer des soldats et des officiers à des postes administratifs civils, ce qui a fait craindre pour l’avenir de l’Algérie.
La Direction générale algérienne des documents et de la sécurité extérieure a confirmé que l’absence de progrès économique due à l’intervention de l’armée algérienne menace de retarder un accord tant attendu avec le Fonds monétaire international et les projets de vente de la dette algérienne à la Chine et à la Russie, le gel de la situation dans le pays par Chengriha « fait craindre à certains analystes que la situation en Algérie ne s’enflamme » à l’instar de la Syrie, la Direction générale algérienne des documents et de la sécurité extérieure estime que l’Algérie se trouve dans un état élevé de danger de guerre civile, avertissant de l’effondrement de l’Algérie comme le scénario syrien, dans lequel la stagnation politique a conduit à l’effondrement de l’économie, soulignant qu’il s’agit d’un exemple effrayant de la mauvaise situation lorsqu’il y a des forces égales qui ne peuvent être réconciliées, l’agence américaine Bloomberg a averti qu’il y avait des signes d’effondrement d’un pays africain proche de l’Europe, et que cela entraînerait une nouvelle vague de migration de jeunes à travers la Méditerranée.
Les développements récents indiquent une guerre civile imminente dans un pays d’Afrique du Nord, à un moment où le taux d’inflation en Algérie a atteint ses plus hauts niveaux depuis l’automne 2019, alors que le taux de chômage continue d’augmenter au rythme le plus rapide depuis l’éclatement de la colère populaire contre le président algérien Bouteflika, depuis lors, les changements répétés de gouvernement et la propagation du virus Corona a contribué à l’éclatement du sentiment de malaise, surtout après que l’économie algérienne s’est contractée de 8,6% en 2020, selon le suivi de Bloomberg, l’insistance de Chengriha sur l’intervention de l’armée algérienne dans tout est considérée comme un coup d’État contre la société civile, le rapport de l’agence indique que le général Chengriha a confirmé qu’il ne reculerait pas, soulignant que la prolongation des mesures d’état d’urgence nécessite l’approbation du Parlement, qui est entre les mains de Chengriha, ainsi que de la Cour constitutionnelle qu’il contrôle, alors nous nous trouvons devant un dictateur qui combine la stupidité de l’imprudence du président libyen Mouammar Kadhafi et la criminalité du président syrien Bachar al-Assad.
