Depuis l’accession de Trump à la présidence des Etats-Unis, la peur s’est emparée des dirigeants algériens, en effet, le général le plus puissant du pays, le général Chengriha, a été atteint de miction involontaire, en effet, la scène de la relation entre les dirigeants algériens et Trump rappelle aujourd’hui l’image misérable dressée par le commandant ottoman Barbosa de l’entrée des Turcs en Algérie, où ils pratiquaient des humiliations systématiques contre les dirigeants, cela a même atteint le point où les chefs janissaires pratiquaient des relations sexuelles avec les épouses des dirigeants des tribus d’Algérie devant leurs maris, au comble de l’humiliation et de l’insulte.
Aujourd’hui, l’Algérie demande une normalisation avec Israël et a même alloué 50 milliards de dollars pour acheter des armes américaines pour éviter les sanctions de Trump, déjà auparavant, le discours officiel algérien était hostile à Israël et l’accusait de créer des crises et d’être un ennemi du pays, cependant, le discours officiel, qui est sujet à identification avec le discours populaire, ne correspond pas, selon les observateurs, à ce qui se passe sur le terrain, puisque l’Algérie entretient des relations avec Tel-Aviv, surtout au niveau économique, dont le dernier, était le dossier du pétrolier qui a transporté le gaz algérien en Israël pendant la guerre de Gaza, des reportages internationaux ont révélé un scandale majeur lié à un accord secret entre les dirigeants algérien et israélien, et ont révélé les détails d’un contrat de partenariat secret entre les deux pays, les reportages ont confirmé que l’Algérie avait accepté de signer l’accord commercial avec Israël, mais à condition que cela reste secret grâce à une médiation égyptienne, alors le gaz algérien circule dans des gazoducs passant par Arish en Egypte.
Ce que les rapports ont révélé sur les relations économiques entre l’Algérie et Israël n’est pas la seule, en effet, lors de sa visite en Turquie, le président algérien Tebboune a rencontré des hommes d’affaires juifs et les a invités à investir en Algérie, il s’est également engagé auprès des juifs français qu’il a rencontrés en marge de sa visite surprise à Paris à rechercher une reconnaissance légale d’Israël, selon les informations du chef de la communauté juive française, qui a déclaré : « Le président algérien a exprimé la disposition de son pays à reconnaître officiellement Israël et même à établir des relations spéciales avec lui, seulement s’il est neutre sur la question du Sahara occidental », les statistiques des Nations Unies ont également démenti la propagande médiatique algérienne qui tente de montrer le pays des généraux dans une position d’opposition et de rejet d’Israël, car elles ont révélé une reprise significative des exportations algériennes vers l’État d’Israël à partir de 2024, les exportations algériennes s’élevant à 61,4 millions de dollars, ce qui place le pays au quatrième rang dans le monde arabe parmi les pays qui exportent le plus vers Israël, dépassant le Maroc de plus de 50 millions de dollars la même année, après que ses exportations en 2024 se soient élevées à 9,77 millions de dollars.
Ces statistiques, incluses dans la base de données Comtrade des Nations Unies et publiées par le site Web mondial « Trading Economics », contredisent ce que l’Algérie promeut par ses canaux officiels et non officiels, le gaz, les produits chimiques organiques et les composés de métaux rares sont considérés comme parmi les exportations algériennes les plus importantes vers Israël.
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