Sous le règne du général Chengriha, la corruption a rongé toutes les institutions et administrations fragiles de l’Algérie. Son peuple misérable en est réduit à fouiller les poubelles et à se battre pour les restes des vieux généraux. Les femmes vendent leur honneur pour une portion de tacos, un kilo de bananes ou un litre d’eau propre, et donnent naissance à des enfants illégitimes dont les pères sont inconnus. Prêtes à fuir avec n’importe quel étranger ou visiteur pour échapper à l’enfer de la nouvelle Algérie, elles subissent les échecs humiliants d’un régime criminel qui appelle la communauté internationale à réformer le Conseil de sécurité.
Lors de la présidence de l’Assemblée générale des Nations Unies, le régime a consacré des semaines à discuter de la représentation équitable au Conseil de sécurité et de l’augmentation du nombre de ses membres. Amar Bendjama, ambassadeur et représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations Unies à New York, a souligné que le monde a beaucoup changé depuis la création du Conseil en 1945 et que sa composition ne reflète plus les réalités actuelles, remettant en question sa légitimité et son efficacité, y compris le droit de veto des cinq membres permanents.
Cette sortie inattendue du régime algérien, semblable à celle du ministère des Affaires étrangères attaquant Israël pour son rapprochement avec l’Arabie saoudie, a été rapidement démentie par la presse algérienne, qui a présenté des justifications peu convaincantes à l’opinion publique. De même, devant le Conseil de sécurité, Ammar Ben Jamea, tel un singe nu défiant une meute de lions, a provoqué les cinq membres permanents, se croyant leur égal. Les jours à venir révéleront l’ampleur de ce régime de mafieux, qui danse déjà la danse du coq sacrifié, annonçant sa fin prochaine.
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