Politique

Avec le silence des organisations internationales, les violations des droits de l’homme en Algérie ont franchi toutes les limites

Avec le silence de toutes les organisations internationales des droits de l’homme à cause des pots-de-vin du régime algérien, provenant de l’argent de la vente du gaz et du pétrole algériens, le régime des généraux a commencé à pratiquer toutes sortes d’enlèvements, de tortures et de meurtres contre le peuple algérien, où le mécontentement populaire a atteint le point d’explosion et la propagation de la faim, de la pauvreté, du chômage, de la prostitution, de l’homosexualité, des ordures, de la saleté et des maladies infectieuses qui ont ravagé la santé et la vie du citoyen algérien, au milieu de ces conditions catastrophiques, il ne restait plus que le déluge pour noyer complètement la bande du Palais Mouradia.

Dans une scène qui résume l’ampleur de l’injustice et de la tyrannie pratiquées par le régime des généraux dans le pays contre le peuple, les femmes des détenus politiques ont choisi de descendre dans la rue non pas pour exiger la liberté absolue pour leurs maris et leurs enfants, mais seulement pour qu’ils soient jugés dans le cadre de procès équitables après six ans de détention arbitraire, de torture et d’intimidation sans aucune procédure judiciaire légale, six années ont suffi à leurs proches pour passer de l’état de vivants à celui de cadavres qui leur étaient rendus sous forme de squelettes portant la preuve silencieuse d’une mort horrible, qu’elle soit due à une grève de la faim ou à une famine systématique.

Ces femmes sont venues défendre les droits humains les plus fondamentaux, bafoués par un régime qui prospère sur l’oppression et la famine pour faire taire les voix libres, la bande de généraux qui prétend représenter le peuple se présente nue devant le monde comme un outil répressif qui n’hésite pas à faire mourir de faim les détenus, c’est le cri des mères et des épouses qui ont refusé de se soumettre à la logique de la tyrannie, de révéler le vrai visage d’un régime qui ne connaît rien d’autre que le langage de l’oppression et de l’injustice et qui est incapable d’apporter la moindre once de justice à son peuple.

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Au contraire, ces femmes ont elles-mêmes été soumises à la violence et au terrorisme dans la rue, et les hommes de main du gang les ont aspergées de pesticides et de produits chimiques qui leur ont causé la cécité, l’essoufflement et l’évanouissement, ce qui a rendu très facile l’enlèvement des manifestantes et leur viol dans les commissariats de police, avec le silence des organisations internationales des droits de l’homme et l’absence totale des médias d’assainissement, qui ne savent rien faire d’autre que de susciter le soutien au gang des généraux.

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