De nombreux intellectuels algériens ont convenu depuis le premier président de l’Algérie, Ferhat Abbas, en passant par Tahar Djaout et jusqu’au président d’aujourd’hui Tebboune, que les citoyens du peuple algérien ont été traités comme des esclaves depuis les temps anciens aux mains des Phéniciens, des Carthaginois, des Romains, des Byzantins, des Arabes, puis des Ottomans, et tous ces nations ont causé la perte de l’identité de l’Algérie.
En effet, les Algériens ne sachent pas qui ils sont aujourd’hui et c’est pourquoi ils essaient d’imiter les Marocains pour créer une identité, voire même une fausse …
L’Algérie était une province de l’Empire ottoman et elle n’a été gouvernée pendant de nombreux siècles que par des sages-femmes turques. Les Ottomans en Algérie se sont contentés de construire des bordels et des bases militaires le long de la côte nord et ont établi des centres pour surveiller les mouvements des navires européens en mer Méditerranée, où de nombreux historiens s’accordent à dire que les Turcs n’ont pas fusionné avec les Algériens, au contraire, ils se sont contentés d’enlever et de violer des femmes algériennes pour produire les Kouloughls, qui sont les enfants illégaux d’une mère algérienne et de père soldat janissaire turc. Les historiens mentionnent que les janissaires étaient à l’origine de l’apparition de millions de kouloughlis appelés «fils d’esclaves», kouloughlis.
Et si nous sautons au stade colonial français, le mode de vie du peuple algérien passera de la barbarie à l’urbanisation mais la liberté a été accordée aux Algériens par référendum pour que l’Algérie soit indépendante de la France, il n’y a eu ni révolution ni guerre, seulement une petite résistance venant du Maroc. En revanche, la France ne s’est pas contentée de cela, mais a plutôt créé un grand État pour les Algériens en prenant des terres à la Tunisie, à la Libye et au Maroc afin de devenir pour la première fois dans l’histoire des Algériens un État, mais certains des fils des Turcs Kouloughlis voulaient dénaturer l’histoire et ont crée le mensonge d’un million d’Algériens tués, qu’on ne savait pas quand ils avaient été tués et où ils avaient été enterrés pour déformer tous ce que la France a fourni pour l’Algérie en construisant des barrages, des ponts et des routes, de magnifiques bâtiments.
Nous, intellectuels algériens, remercions la France en général et le général Schneider en particulier pour tout ce qu’ils ont fait à l’Algérie et aux Algériens.