La nature de la lutte actuelle en Algérie entre les ailes du pouvoir, qui se poursuit toujours selon les observateurs pour contrôler l’État, est une lutte pour le vol des biens algériens, entre les généraux à la retraite et ceux encore en service, ce qui rappelle les jours du sang et du feu dans les années 90 du siècle dernier, et ce qui a fait craindre à de nombreux Algériens la réémergence des escadrons de la mort …
Avant la récente tentative d’assassinat de Tebboune, qui a provoqué son transfert en Allemagne pour y être soigné, il y a quelques mois, un conflit a éclaté entre l’autorité au pouvoir et les hauts généraux des services de sécurité et les retraités, parmi eux, il y a ceux attribués aux services de renseignement.
En fait, la nature de ce conflit est le contrôle des ressources du pays car tout ce qui se passe aujourd’hui en Algérie a donné une impression pour l’opinion publique qu’il y a une vraie lutte entre les généraux, alors l’Algérie 2021 est la même que celle des années 90 avec toutes ses formes, et les défis de la phase suivante sont les mêmes que le pays connaissait dans les années 90.
En plus, le seigneur de l’Algérie, le général Toufik, aura un rôle dans la phase suivante et effectuera les mêmes tâches sales qu’il a faite lorsqu’il était à la tête des services de renseignement dans les années 90, après la mort de Gaîd Salah, qui était considéré comme le vrai dirigeant du pays au cours de la période entre la démission de Bouteflika et l’élection du président Abdelmadjid Tebboune le 12 décembre, les experts s’attendaient à ce que les données changent et les faucons de la décennie noire reviendraient faire des ravages et des destructions en Algérie.