Un centre américain spécialisé dans la surveillance des risques dans la région de l’Afrique du Nord a révélé qu’en Algérie le président Abdelmadjid Tebboune n’est qu’une décoration au palais de la présidence.
Le centre, qui est basé à Miami, en Floride, aux États-Unis, a indiqué qu’il existe des éléments influents dans l’établissement de l’armée qui prennent les décisions en Algérie et que le président ne fait que signer sur ses dernières afin de lui donner une dimension juridique …
Des sources bien informées, au sein de l’American Center, n’excluent pas que le général Chengriha, récemment vainqueur, dans sa guerre avec les puissants au sein des institutions de sécurité et militaires, a commencé la préparation formelle de l’événement du succession de Tebboune, qui devra maintenant se reposer, et lui qui a été contraint de se présenter à la présidence malgré la détérioration de son état mental afin d’accomplir la tâche de maintien du pouvoir entre les mains des généraux et de contourner les manifestations populaires.
Les sources affirment que les plus importants candidats pour succéder au président Abdelmadjid Tebboune sont, le chef du Mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina, Abderrazak Makri chef du Mouvement de la société pour la paix algérien, et le général Ali Ghadiri.
Il est probable que la nomination de l’un d’entre eux se fera dans le cadre d’arrangements qui obligent les généraux à se dépêcher pour organiser des élections présidentielles anticipées.
Les observateurs disent que ce fait, dans la mesure où il indique l’état de santé caractérisé par l’impuissance totale du président algérien, il révèle aussi une lutte cachée qui se déroule dans les couloirs de la présidence sur les modalités de succession de Tebboune concernant le moment de l’annonce de la démission du président ou la personne la plus susceptible de lui succéder.