Le gouvernement d’Abdelaziz Djerad a montré une grande faiblesse dans les performances, surtout dans la période récente, ce qui a accru la tension dans la rue algérienne, le mécontentement face à sa mauvaise gestion, et une baisse de sa popularité parmi ceux qui gouvernent l’Algérie derrière les coulisses, et tout le monde réclame sa révocation, y compris de nombreux généraux…
A cause de Corona, les Algériens ont tenté de donner au gouvernement d’Abdelaziz Djerad une opportunité de trouver des solutions et une sortie différente des crises économiques, mais à cause de la confusion dans les décisions et du manque de sérieux face à de nombreux dossiers et la nomination d’un certain nombre de personnes proches du président Tebboune à des postes ministériels comme le cas du ministre des Affaires étrangères Boukadoum qui n’est pas apte pour ce poste et la présence d’un excès de recrutement dans les ministères et les institutions, ce qui a porté un coup dur au gouvernement.
En effet, selon les analystes, le dossier des détenus et leurs tortures a aggravé la situation en raison de la méconnaissance du gouvernement dans le traitement de ce dossier.
En outre, la faiblesse de ce gouvernement a empêché les citoyens d’avoir confiance pour accepter ses solutions et propositions qui n’ont pas éteint le feu de la rue algérienne.
Selon nos sources, les décisions récentes du gouvernement ont montré que son départ est imminent en raison du mécontentement face à sa performance, et en continuant à entrer en crise avec la rue algérienne et de la colère croissante contre le gouvernement et ses politiques inutiles, car il n’a pas réussi à apporter de nouveaux investissements qui offrent des opportunités d’emploi à la jeunesse algérienne, et les généraux sont en colère contre la performance du gouvernement diplomatiquement, ce qui a causé l’entrée de l’Algérie dans un isolement international.