L’Algérie s’apprête à ramener le continent africain au Moyen Âge en exigeant des pays africains du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest de faire des transactions avec l’Algérie via le système de troc, qui permet aux marchands des régions frontalières d’Algérie de pratiquer le commerce avec leurs homologues des pays du Mali, le Niger et la Mauritanie sans payer les tarifs douaniers.
A travers cette initiative, l’Algérie veut atténuer le préjudice causé par la baisse de ses revenus pétroliers et préserver ses quelques réserves de devises étrangères, même si cela se fait au détriment des économies des pays africains. Les dirigeants algériens ne se soucient que de profiter des souffrances des Africains.
Le texte de loi algérienne du troc dans sa version actuelle prévoit d’utiliser ce système dans les échanges commerciaux entre l’Algérie d’une part et le Mali, le Niger et la Mauritanie d’autre part dans la première phase avant que la seconde phase commence à traiter avec les pays d’Afrique de l’Ouest.
Concernant les marchandises qui sont échangées dans le cadre de cette loi, selon le responsable du registre commercial algérien, comprend l’accès de l’Algérie aux produits alimentaires agricoles, poissons et bétail des pays africains en échange des produits algériens, y compris des armes légères, des dattes, le tabac et certaines produits périmés, ce qui indique la malignité de régime algérien, qui donne des substances nocives à l’Afrique et prend des produits agricoles, du poisson et du bétail.