Politique

Dans un exemple flagrant de la contradiction, le régime des généraux en Algérie, libėre 30 militants politiques et en arrête 200

De nombreux hommes politiques et intellectuels algériens ont estimé que la démarche de libération des détenus du Hirak était attendue de la part du président de la République pour gagner la sympathie des Algériens et pour contourner le retour des manifestations …
Les opposants au régime des généraux ont appelé à saisir l’occasion pour poser les conditions juridiques permettant d’instaurer la liberté d’expression et d’opinion car l’État algérien doit garantir le respect du droit des citoyens à la liberté et à la dignité.
L’opposition a souligné la nécessité de poursuivre les manifestations pour imposer au système des généraux d’aller vers le dialogue, la concertation et le respect mutuel, ce qui permet la consolidation de la confiance, garantit la stabilité et favorise l’émergence d’une Algérie plus juste et plus forte …
Il est à noter que la libération annoncée hier par le président de la République comprenait 30 prisonniers des détenus du Hirak, ainsi que le militant Rachid Nekkaz, qui était à la prison d’El Abiodh Sidi Cheikh à El Bayadh et le journaliste Khaled Drareni, qui se trouvait dans la prison de Koléa, et de larges réactions se sont poursuivis sur les réseaux sociaux depuis le début de la libération des détenus, de nombreux, et à travers leurs publications, exprimaient leur soulagement pour la sortie des détenus des prisons d’une part, et d’autre part, ils ont été étonnés des arrestations qui ont touché un certain nombre de manifestants, coïncidant avec la décision de la grace, alors que le nombre de détenus arrêtés hier atteignait environ 200 militants politiques.

  Qui arrêtera la répression de la presse en Algérie ?
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