Quiconque observe les événements en Algérie de l’Est à l’Ouest du pays ne peut trouver moins cher que la dignité du peuple algérien, qui est écrasée et piétinée par le régime des généraux qui maîtrise les arrestations arbitraires, la torture et l’effusion du sang algérien le moins cher du monde…
En outre, le pire, est que ces violations flagrantes sont parfois commises contre le peuple algérien au nom de la démocratie et au nom du nationalisme arabe à d’autres moments, contre les Berbères, d’un régime qui utilise la violence et la dictature comme plate-forme pour réaliser ses intérêts, maintenir son règne, opprimer le peuple et le priver de ses droits.
À chaque discours du général Chengriha, le citoyen algérien éprouve de la peur et de l’anxiété face à une calamité survenant dans le pays, tout comme cela s’est produit immédiatement après son discours, les forces de l’ordre ont ouvert le feu sur les manifestants à Ouargla.
En effet, à travers les discours de Chengriha, des messages codés sont envoyés à l’armée pour réprimer les Algériens, mobiliser et inciter contre le peuple, mais ce qui est étrange dans ce qui se passe en Algérie, c’est le silence et l’indifférence des organisations internationales de défense des droits de l’homme envers les généraux écrasant les Algériens en raison de manifestations pacifiques et de la revendication de justice sociale, de liberté et de démocratie.
En fait, ce sont ses organisations qui n’ont pas défendu les intérêts du peuple, mais qui travaillent au contraire à perpétuer la dictature et la tyrannie des régimes au pouvoir. Les organisations internationales de défense des droits humains sont devenues inutiles, comme le voient la plupart des Algériens, et elles se contentent de faire des déclarations pour dénoncer ce qui arrive mais sans remplir leurs rôles pour lesquels elles ont été établies pour une raison simple, c’est que le régime des généraux en Algérie verse d’énormes sommes d’argent pour qu’elles n’interviennent pas.
Il est donc nécessaire d’obtenir un certificat de décès pour les organisations internationales de défense des droits de l’homme car elles sont bénéficiaires de ces événements et se contentent de regarder et de collecter de l’argent.
