L’Algérie reste dans la colonne « rouge » sur la carte mondiale de la liberté de la presse, et c’est la case qui indique la situation difficile du travail des journalistes dans n’importe quel pays.
Depuis le début du Hirak, l’Algérie figure remarquablement en bas du rang dans le classement mondial de la liberté d’expression et de la presse selon l’indice « Reporters sans frontières », car elle est restée dans les hauts et les bas au sein des derniers rangs, ce qui signifie que le statut de la liberté de la presse en Algérie n’a pas changé, car l’Algérie reste toujours classée dans la seconde moitié des classements mondiaux, cela signifie qu’elle est en dessous du niveau dans le domaine des libertés des médias et de la liberté d’expression, et il a placé l’Algérie dans la zone rouge sur la carte du monde dans l’index de l’organisation, avec plusieurs pays qui ont presque la même situation, le Mali et l’Angola.
Il est à noter dans le nouvel index que des pays africains comme le Ghana, le Niger, le Sénégal et le Bénin se sont classés dans un niveau bien meilleur que l’Algérie, et cette dernière a remporté un score de 36,26%, un pourcentage qui est en contradiction avec le discours officiel concernant l’amélioration de la liberté d’expression et de la presse en Algérie, car le domaine de la liberté nécessite une plus grande ouverture qui affecte la consécration du droit des professionnels des médias et des militants d’accéder aux sources d’information, et qui est une « variable » sur laquelle est fondée davantage le suivi de la réalité de la liberté d’expression en Algérie.