Le ministère algérien de la Solidarité nationale et de la Famille a tiré la sonnette d’alarme en raison de la forte augmentation du phénomène du divorce en Algérie, en particulier le divorce précoce, car des cas de divorce se produisent 24 heures après le mariage pour cause d’impuissance sexuelle, et d’autres cas de divorce par défaut de virginité, ce qui a poussé les deux parties à avoir peur du mariage, et cela a augmenté le pourcentage de divorce à des chiffres effrayants…
Des centaines de milliers de cas de divorces ont été enregistrés en Algérie ces dernières années, les diverses histoires de femmes et d’enfants, qui racontent leurs tragédies sur des livres blancs, et le nombre de divorces et de séparation a atteint des niveaux sans précédent, car les cas de séparation à atteint 30 000 cas, contre 65 000 cas de divorce en seulement six mois de l’année en cours, le ministère de la Justice a révélé que les cas de divorce s’élevaient à 132 000 au cours de l’année écoulée et a souligné que la séparation était devenu un phénomène répandu dans la société de façon inquiétante.
Les raisons de l’augmentation des cas de divorce et de la séparation varient d’une manière qui révèle des changements négatifs et dangereux affectant le système de mariage et familial dans la société, ainsi, le chef du syndicat des imams, cheikh Djeloul Hadjimi, a annoncé que ceci est dû à la facilité d’obtenir le divorce par rapport aux sociétés non musulmanes. Quant à la séparation, la situation exige une révision de ses procédures, en pointant ses problèmes fondamentaux à la perte de la virginité, l’impuissance sexuelle, la froideur émotionnelle, le logement, le chômage et l’emprise de la drogue, alors comment peut-on espérer qu’un simple citoyen incapable de sauver sa femme et de la rendre heureuse, qu’il libère l’Algérie et la sauve de la clique militaire ? Impossible.
