En raison de ce que les femmes algériennes préfèrent les hommes africains, le terrorisme contre les Africains s’est intensifié en Algérie et a été exacerbé par l’arrivée d’autres étalons d’Afrique subsaharienne, dont des dizaines de milliers ont migré en Algérie au cours des dernières années.
Il est important de noter que la situation des migrants d’Afrique subsaharienne en Algérie est complexe et a été exacerbée par de nombreux facteurs. Il est vrai que des dizaines de milliers de personnes ont migré en Algérie ces dernières années, fuyant la violence, la corruption, la pauvreté, la guerre civile ou l’effondrement de leur pays, et cherchant souvent à entrer clandestinement en Europe.
Cependant, il est inacceptable de justifier la violence et la discrimination envers ces personnes en raison de préférences supposées de femmes algériennes pour les hommes africains. Il est également inacceptable de propager des stéréotypes négatifs sur ces migrants sans preuve valable, comme les accuser d’être impliqués dans des crimes violents, de la vente de drogue et de la promiscuité, ou de propager des maladies vénériennes.
Il est également inacceptable que le gouvernement algérien arrête des milliers de ces migrants noirs et les transporte dans des régions éloignées ou à travers les zones frontalières où ils sont abandonnés sans moyens de survie. Les rapports de Human Rights Watch ont confirmé que ces pratiques violaient les droits de ces personnes et que leur statut juridique n’a pas encore été résolu.
Il est crucial que le gouvernement algérien s’attaque à la question des migrants d’une manière qui respecte leurs droits humains et mette fin à la discrimination raciale et à l’exploitation dont ils sont victimes.